
Sergio ramassait son mec botté, puis il l'amenait à l'arrière de sa van stationnée plus loin sur le terrain, et sans fla-fla inutile, il s'en donnait à coeur joie sur les grosses bottes de son mec. Puisque la van était munie tout le tour de vitres teintées, ils pouvaient même voir les autres gars qui restaient au chantier, ou la nouvelle équipe qui leur succédait, tendant qu'ils se régalaient l'un de l'autre sans aucune limite. L'odeur de la poussière, de l'humidité, du bois frais coupé, de l'écorce, de la terre ou la boue, du cuir......, leurs bottes leur donnaient tout ce dont ils avaient besoin pour s'amuser ensemble exactement de la façon dont ils entendaient le faire. Et ce, sans parler de leurs gros pantalons sales, leurs vestes de sécurité fluo , de leur casque de construction, et de leurs grosses chemises àcarreaux...... !

Tous les détails sont là, à nos yeux. Dans la van, Sergio aimait se faire jouer sur sa grosse bite bandée par une bonne paire de grosses TERRAS fatiguée de leur journée ! Il sentait les grosses bottes lui envahir la queue et les couillles par son partenaire de travail, et regardait la scène avec une jouissance extrême. Comme les mecs qu'il entraînait avec lui dans sa van n'étaient pas des "pichous", il les admirait au-dessus de lui ,en position de domination bien sûr, souvent la tête par en arrière en se branlant à fond. Parfois, Sergio aimait que le mec lui crache tout son jus dans la face de façon à bien "beurrer" son casque jaune de sécurité qu'il léchait par la suite en guise de souvenir de la toride scène qu'il avait vécu un peu plus tôt.
Parfois, les gars qui connaissaient Sergio se ramassaient à plusieurs dans la van, toute la "gang" à se bouffer les grosses bottes et à faire "du cul" ensemble avant de rentrer à la maison dans leur petite vie rangée. Ils savaient qu'avec les mecs, il pouvaient se défouler et faire tout ce qu'ils voulaient sans aucuns reproches. Il arrivait que l'intérieur de la van de Sergio, après une bonne partie entre gars ne sente que le gros cuir de bottes à plein nez, ce qui ne lui déplaisait pas du tout, en passant. Cela laissait une bonne "saveur d'hommes" dans sa van. Il laissait également toujours traîner quelques paires de ses grosses bottes de chantier à l'arrière......, pour les imprévus.