C'était l'été,il faisait terriblement chaud. Moi et les gars on transpirait en dessous de notre linge mais il fallait que le travail se fasse. Cet édifice sur lequel nous travaillions était
naissant, seulement les poutres, plafonds et planchers étaient montés, et l'odeur fraîche du bois me stimulait. Cet odeur de bois frais coupé m'excitait. Moi je travaillais là pour l'été
seulement, avec mon frère et mon cousin qui eux travaillaient dans ce milieu depuis plusieurs années. C'est eux qui m'avaient offert ce job temporaire.
Mais les choses ont changé vers le milieu de l'été. Bien sûr la virilité des gars que je cotoyais tous les jours me plaisait terriblement, ils étaient si mâles dans leurs bottes de construction
et leurs vieux jeans enduits de poussière, et je ne parle pas des jours très chauds ou ils suaient le torse nu près de moi. Pierre-Luc était celui qui me rendait le plus dingue. Il devait avoir
environ 25 ans, il avait les cheveux longs et un de ces culs dans ses vieux Levi's 501. Il s'approchait de moi et j'en perdais tout mes moyens. Son odeur corporelle m'attribuait une sensation
d'euphorie qui n'égalait rien d'autre.
Un jour, nous avons été demandé quelques gars pour aller sur e chantier le soir car il y avait trop de travail qui pressait. Nous allions être seulement deux ou trois pour finir des travaux en
retard. Bien sûr ils m'ont demandé d'y aller vu que j'étais le p'tit nouveau, le dernier entré ! Mais ce qui fut plaisant, c'est que Pierre-Luc aussi avait été demandé, puis l'autre, le troisième
qui devait nous rejoindre ne s'est pas présenté, alors nous avons travaillé seuls moi et Pierre-Luc toute la soirée. Je croyais à un miracle, et je continuais de souhaiter que l'autre, Réjean, ne
se pointe pas sur le chantier pour que la situation reste ainsi.
Nous travaillions côte-à-côte tout le temps. Nous devions élever des
panneaux de murs à des hauteurs différentes. Pierre-Luc s'occuppait du haut, et moi je
m'occuppais du bas, ce qui fait que lorsque Pierre-Luc fixait le haut des panneaux, moi j'étais à quatres pattes par terre en avant de lui pour ajuster le bas, puis j'avais l'heureux spectacle
d'avoir tout près des yeux et de mon corps excité ses grosses bottes de construction. Souvent lorsqu'il s'étirait pour clouer plus haut, son jeans frolait en partie mon visage. Je me retrouvais
aussitôt bandé dans mon short car cela m'excitait terriblement. Il nous restait seulement un panneau à poser quand l'escabeau que nous utilisions a flanché. Alors Pierre-Luc dit: « On est pas
pour laisser ca de même, il reste juste celui-là à poser..., ca te déranges-tu si je monte sur tes épaules, ca va prendre deux-trois minutes pis on va avoir fini ça ? » C'est alors qu'il est
monté assis sur mes épaules, ses jambes autour de mon cou et pendantes sur mon torse. Pendant qu'il avait la tête vers le haut et qu'il fixait les panneaux, je sentais tout ce paquet dans son
jeans me frotter la nuque et le cou. En plus je le tenais par les jambes pour ne pas qu'il tombe. J'étais super excité. Il sentait bon, il était imprégné de cette senteur de bois et de rippe qui
me rendait fou complètement. Son dandinement sur mes épaules contribuait à rendre la posture encore plus aphrodisiaque. Je regardais aussi ses grosses Kodiak qui parfois me jouait sur les
hanches. C'était trop pour ce que je pouvais supporter, j'étais bandé comme un taureau dans mon jeans et j'avais peur qu'il s'en appercoive lorsqu'il redescendrait de sur mes épaules.
Au bout de cinq minutes , il me dit: « Ca y est, je descend ! » Il se déprit de moi et retrouva le sol aussitôt. Pendant que nous regardions le travail, il dit: « J'vais dans l'auto, je reviens
tout de suite ! » Je l'ai vu revenir avec un sac. Il dit: « On va prendre un brake bien mérité ! » Il ouvrit le sac et il y avait quelques canettes de bière. On s'est évaché par terre à travers
les planches puis on a fumé une cigarette en buvant. Je regardais sa braguette à chaque fois que j'en avais la possibilité et j'imaginais chaque fois ma langue qui la galvauderait, qui lècherais
ce jeans un peu râpé ou les couilles. On voyait même un peu son slip blanc à travers. Je devenais littéralement fou à chaque coup d'oeil et je crois qu'il s'en apercevait. A un moment donné, il a
étiré ses jambes vers moi avec un large sourire et a posé ses grosses bottes Kodiak à ma fourche, faisant pression sur ma queue. Il me jouait là avec ses bottes en pressant mon membre affolé et
il ronronnait. J'étais tellement étonné que je me mis à regarder ces grosses bottes sales voyager sur les boutons de mon 501 et j'approchai aussitôt ma main pour les caresser. Le groscuir jaune
et sale avait atteint ma queue et mes mains à la fois. J'en tremblais, et Pierre-Luc me regardait avec un gand sourire jouissant. Ma main commenca lentement à voyager au-delà de ses bottes et
commenca lentement à parcourir le jeans dans un grand moment d'extase. Mon coeur battait à cent milles à l'heure et j'étais bandé comme jamais je l'avait été dans ma vie. Il continua de me
tripoter la fourche avec la pression de ses bottes.
Soudain, Pierre-Luc s'évacha davantage sur le dos et fit monter sa jambe jusqu'à la hauteur de mon visage pour que je lui lèche ses bottes à fond. J'avais ses grosses Kodiaks sales écrasées dans
ma figure, elles vagabondaient partout dans mon visage et sur mes lèvres. Ma langue en profita aussitôt pour tout lécher à fond le cuir usé et odorant qui me rendait fou. Je humais le spectacle
de toutes mes entrailles. Les grosses semelles écrasées dans ma figure sentaient la même chose que celles dont je me servait en cachette chez moi pour me crosser. Souvent, je m'arrangeais même
pour venir à plein flot dedans.
Je jouissais profondément, et en même temps, d'un coin de l'oeil, je vis Pierre-Luc caresser avec insistance les boutons de son jeans usé et gonflé. Il avait fermé ses yeux et respirait très
fort. Je continuai à manger à pleine gueule ses bottes et à respirer leur odeur, tout en ressentant très fort la pression du cuir des semelles sur mes lèvres et ma langue. C'était bon, savoureux,
paradisiaque, et c'est lorsqu'il a mis ses deux pieds dans ma figure que le plaisir s'est encore multiplié. Ma langue n'était pas assez habile encore pour profiter de tout en même temps. Je
bavais dessus. Pierre-Luc déboutonna son jeans et en sorti une queue immense et gonflée et est venu aussitôt sur son jeans à grands jets en lâchant des cris de jouissance. Il n'en fut pas long
que je me déboutonna moi aussi et suis venu de la même façon que lui.
Nos deux jeans étaient plein de sperme. On s'est regardé en riant et il s'est blotti complètement sur moi et s'est mis à m'embrasser. Nos jeans se partageaient leurs spermes et nous nos bouches
enfin réunies. Je n'aurais jamais cru pouvoir jouir antant, et surtout dans un contexte semblable. Nous avons recommencé plusieurs fois ce petit manège excitant, et chaque fois fut une fois
innoubliable