KODIAKS-MONDE BLOG

Un ami à moi m'avait dit à l'époque ( à propos du sauna 5018) :" Juste à voir la pub, ça donne le goût d'y aller tout de suite. Pas entré encore et déjà excité au max, il se dépêche à aller se refaire un look fétiche avant d'aller cruiser.  A poil avec son perfecto et ses grosses TERRAS, comme dans la publicité.  C'est comme ça que sa soirée a commencé ! Une bite raide, du cuir, et des grosses bottes....., la soirée parfaite !

  
 Michael est un gars de la construction, il a 32 ans, il a une allure virile et « testostéroneuse » dans ses grosses bottes Terras détachées.  Il est arrivé chez Jean, après le travail, avec son casque de construction, sa veste orange de sécurité, son t-shirt sale et poussiéreux, ses vieux 501 à moitié boutonnés dénombrant l’ampleur de la bosse qui se trouvait là-dedans, sa ceinture d’outils, sa chemise de chasse carottée, ses gros gants de jobber usés, et ses grosses TERRAS usées.  Qu’allait-il faire chez Jean ?  Agrandir pour bâtir un garage.  Imaginez que Jean s’est fait réveillé le matin par cet « amenchure » de gars, alors que lui, il lui a ouvert la porte, tout endormi, encore en slip ! Ca réveille pas à peu près.  Michael lui dit: « J’te réveille hein ? »  Il répond: « Ouais, mais bon, c’est pas grave, j’vais aller dans ma chambre te chercher les clés pour sortir le bois ! »  Mais Michael a suivi Jean dans sa chambre. Jean entendais bien l’emboîtement des pas virils de Michael avec ses grosses Terras derrière lui. Michael commença à flatter le cul et la bosse du slip de Jean avec les gros gants de jobber sales qu’il portait puis le poussa contre le mur en lui disant: « J’aime ça les p’tits mecs bandés dans leur slip le matin ! »  Jean ne l’était pas, mais il l’est devenu soudainement lorsque Michael  lui rentra quelques doigts de ses gants dans la bouche et lui dit: « Tu veux-tu me lécher les bottes p’tit morveux ? » Alors toujours avec sa main, il descendit la tête de Jean jusqu’à ses pieds et lui dit: « Envoye, nettoye-moé ça ! »  C’est alors que Jean commença, sans se faire prier davantage, à lécher de partout avec sa langue les grosses Terras usées du fameux Michael en les caressant en même temps avec ses mains.  Quand Jean avait la bouche occupée sur une botte, Michael lui frottait l’autre dans la face et dans le cou, et Jean gémissait comme une salope de l’effet que ça lui procurait et des odeurs aphrodisiaques des bottes de Michael dans sa face.  Pendant ce temps, Michael finit de déboutonner son jean, se mit à se branler lentement, et juste au bord de l’orgasme, il se retenait, mais repoussait la tête de Jean juste un peu pour laisser tomber sur ses Terras quelques gouttes de son sperme sans toutefois venir maintenant, puis demanda à Jean de lécher ça avec sa langue au fur et à mesure qu’il en faisait dégoutter.  Parfois Jean relevait un peu la tête pour voir la gueule jouissante de Michael, et le regardait se branler avec ses gros gants de jobber qu’il avait gardé dans ses mains. Il lui flattait la fourche du 501, puis retournait aux Terras finir le travail.  A un moment, Michael a retiré une de ses bottes avec son autre pied et a poussé la tête de Jean droit dedans.  Jean lâcha un grand soupir de jouissance car toute la grosse chaleur, les odeurs du cuir bouillant et celles des pieds de Michael en bas de laine de construction lui montèrent droit au nez. Michael lui dit:  « Asteure, nettoye-moé le cuir en dedans avec ta langue, tandis que c’est chaud pis humide ! » C’est ce que Jean avait d’ailleurs commencé à faire avant d’en recevoir l’ordre.  En même temps qu’il avait la face plongée dans la grosse Terra, il sentait des gouttes de sperme de Michael tomber dans son cou, ce qui l’excitait encore davantage. Soudainement, Michael est devenu tellement excité de voir Jean à quatre pattes par terre la face dans ses bottes qu’il explosa à grands jets sur son autre pied, celui encore botté, en râlant comme un animal.  Jean se sortis vite la face de la Terra  dans laquelle il prenait son pied, puis alla immédiatement tout lécher sur l’autre botte de Michael, maintenant pleine de dèche, ou plutôt inondée puisque ça dégoulinait partout de chaque côté de la botte.  Jean jouait avec sa bouche dans la dèche de Michael sur la Terra  et en aspirait des gorgées de temps à autre en gémissant de plaisir. Quand tout fut nettoyé, Michael chaussa son autre botte et lui dit:  «  Bon..., il faut monter le garage maintenant .... ! » puis abandonna Jean à l’intérieur.  En tout cas, pour quelques heures seulement !