C'est vers 7 hrs du soir que je me rend chez ce type, en campagne, pour aller voir un tracteur, annoncé dans le journal. L'annonce m'intéresse, c'est le modèle que je recherche justement. Il y a
beaucoup de traffic sur les routes, l'heure de pointe n'est pas encore finie.
Plus je me
rapprochais de la campagne, plus je me sentais revivre et les odeurs qui s'emparaient de me moi me redonnaient cette frénésie intérieure loin d'être désagréable. Quand j'eus trouvé l'adresse,
j'entrai dans la cours, et je vis 3 hommes au loin, près de la porte de la grange. J'ai éteint le moteur de l'auto, je suis débarqué, puis je suis allé vers eux. Ils étaient moches et sans
façons. Je leur ai demandé :"Est-ce qu'il y a un Robbie parmi vous autres? " Et le plus gros des trois me répondit :" Rentre dans la grange et rends-toi au fond, Robbie est là! ". C'est ce que je
fis, et, pour faire contraste, je suis arrivé devant un beau jeune gars des plus excitants. Il avait des grosses bottes de construction sales, un Levi's à nous faire bander jusque dans la gorge,
usé, et à demi déboutonné et poussiereux, un t-shirt noir, court, et tout poussiéreux, puis cette peau et cette gueule qui me dépossédait de tout mes moyens. Il avait des gros tatouages sur les
bras, aucun poil sur le torse, et des yeux totalement déroutants dans sa belle p'tite gueule de bum aux cheveux longs.
Alors, tremblottant, je lui dis :" Salut, c'est moi qui t'ai appellé pour l'annonce ! " Sans plus il me dit aussitôt : "Suis-moi....., es-tu pressé ? " Je lui dis que non, et lui demande
pourquoi. Il me dit: "Viens, suis-moi, j'ai quelque chose à faire avant ! " J'étais intrigué, mais il m'excitait tellement que ma tête ne répondait plus à rien et je le suivis sans savoir
pourquoi, en me régalant à la vue de son cul qui se déhanchait dans son jeans, devant moi. Nous avons traversé un ruisseau par un pont de bois, puis nous nous sommes rendu dans un autre bâtiment
en arrière, plus isolé. Je vis le tracteur. Il me dit : C'est lui..., monte dedans ! " Alors je montai. Evidement, il n'y avait qu'un siège, assez compact, et je vis qu'il montait lui aussi
derrière moi. On était assis sur le même siège, tellement collé l'un sur l'autre que je sentais toute la chaleur de ses cuisses traverser son jeans et s'ennivrer à l'intérieur du mien pendant
qu'il me donnait des détails sur les bras de manoeuvre. Soudain, il se leva pour connecter le beacon sur le toit. J'avais le spectacle de tout son corps "jeanné et botté" debout devant moi, me
laissant droit devant ma figure le spectacle ahurissant de son cul bien usé dans ses Levi's sales, et ses grosses Kodiak plongeant dans son jeans.
Il dit: " J'pense qu'y'a un fusible de brûlé parce ca allume pas comme c'est supposé ! ". Puis il se pencha sur le plancher pour aller vérifier dans le coffret de fusibles. Je ne pu résister,
c'est alors que je collai mes lèvres sur le tissu de son cul et y fit voyager la peau de ma figure avec toute l'extase du monde. Cela n'a pas eu l'air de le surprendre, car il se retourna
lentement, resta debout devant moi, acotta son gros pieds botté sur le siège , puis me dit: "Vas-y, mange-moi la queue ! "
D'une main, je caressais sa grosse Kodiak sale sur le siège, et de l'autre je caressais son cul, pendant que ma bouche en chaleur errait contre la bosse gonflée de son vieux Levi's. Je
léchais la bosse avec ardeur, je la savourais à plein pendant qu'il se déhanchait de plaisir devant moi. Sa botte sur le siège se mit à bouger, et se mit à presser ma queue sur mon jeans. Je
continuais de la caresser avec cette hâte féroce de l'avoir en plein dans la gueule pour la lécher comme un animal. Il savait que j'adorais la scène, et que la beauté de son corps me dépossédait.
Il profitait à plein de ma faiblesse. Il enleva une de ses grosses bottes puis me fit lécher les rebords intérieurs très chauds. Le cuir sentait bon, j'avais la bouche rentrée à l'intérieur de sa
botte au complet et je jouissais à fond. Pendant ce temps, il joua avec sa main sur les boutons de mon jeans en râlant comme un pervers à bout. Il retira la botte de ma figure, la pris dans sa
main d'une autre façon et me frotta la grosse semelle de cuir sur les joues. Je pensais mourir là de jouissance tellement le spectacle m'étourdissait.
Je lui dis: "Arrête, j'en peux plus, je vais venir" . Il me répondit:" Attends un peu" puis il se retira légèrement, jeta la botte par terre, déboutonna son Levi's et en sortit une queue immense
et affolée droit devant ma figure. Il me dit: "Prends ma grosse botte, pis crosse moé la queue avec !" Surpris de sa demande, re repris la grosse botte encore chaude, puis lui enfila la queue à
l'intérieur en commencant un long mouvement de va-et-vient avec la botte, sur sa queue. Il se déhanchait comme une vraie salope pendant qu'il se faisait aller la queue de plus en plus rapidement
dans le cuir intérieur de la grosse KODIAK jusqu'au moment ou il a ralentit le rythme, lentement, s'est retiré de la botte, s'est relevé les cheveux, m'a regardé avec un sourire délinquant, a
regardé sa grosse Kodiak, puis en me prenant la tête avec sa main droite, il m'a rentré la tête dedans pour que je sniffe ses efforts sur le cuir. J'avais le nez dans sa grosse botte et je
savourais l'odeur du cuir qui avait pris l'odeur de son gros bat à moitié fou ! Il devait faire au moins 90º dans sa botte tellement sa grosse queue l'avait chauffée à fond.
Il me
regarda et me dit: " On continue ? " Alors je lui répondis:"Oui, mais enlève ton autre botte pis donne moi là ! " Il la retira aussitôt, je la mis à côté de moi, puis lui réenfila pour une
seconde fois la queue toujours bandée dans sa Kodiak, et le mouvement de va-et-vient reprit de plus belle, au point que j'avais de la misère à garder sa botte dans ma main tellement ses
mouvements étaient "ruff" et entraînants. Et c'est à ce moment précis que je pris son autre Kodiak, puis que je me mis à retirer tout le lacet au complet pour qu'elle ouvre le plus grand
possible, je m'écrasa le plus possible dans le siège du tracteur, puis ayant pris la position la plus évachée possible, je m'envoya la tête vers l'arrière et me la rentrai au complet (enfin...)
dans la face pour me régaler à fond du cuir à l'intérieur, et de l'odeur de ses gros pieds dans des bas de laine de construction.
Pendant ce temps, Robiie, lui, continuait toujours de se faire la passe dans l'autre botte, que je tenais toujours dans ma main.C'était l'apothéose totale, la débauche complète sur le tracteur !
Mais ce ne fut pas trop long que Robbie m'arracha violement sa botte de sur ma tête, puis me lâcha tout son jus en pleine figure ! Quelques moments de silence s'imposèrent puis il me dis: "Je
vais me retourner puis sert-toi de mon jeans pour t'essuyer le visage !" . Il se retourna, en remontant un peu son jeans, mit son cul dans ma face, puis je fis promener la mienne sur son cul en
jeans pour me débeurrer le visage de son sperme. C'était comme un rêve très humide, chaud et collant ! Quelques secondes après, je me leva à mon tour, déboutonna aussi mon jeans, et lui fis vivre
la même chose , à sa demande. Nous étions par après épuisés, on descendit du tracteur, il me serra très fort dans ses bras, colla ma figure sur son torse en sueur, que je léchai lentement,
enlassé contre lui. Il me dit:" Je n'ai jamais fait une aussi belle transaction !!!"
(Michaël, 28 ans)