KODIAKS-MONDE BLOG

UN VERRE DE BIÈRE EN CUIR:  De quoi peut-il vouloir nous parler ce matin ?  Eh bien oui, un verre en cuir, mais ce sera pour ce soir.  Aujourd'hui, j'ai prévu travailler sur mon terrain afin de commencer le remisage d'automne, vous savez, les meubles de parterre, les plantes, la mauvaise herbe, le gazon, nettoyer les tondeuses, enfin...., mais attention: J'ai prévu de faire tout cela en TERRAS, rien de moins.  Après cette journée d'automne bien remplie, je me paierai un peu la traite pour me récompenser, c'est-à-dire que mes TERRAS n'en resteront pas là, è la fin de la journée.

Aujourd'hui, j'avais choisi une paire de mes TERRAS qui sont tout en cuir, dehors comme dedans, du bon cuir lisse sur lequel la sueur "coule"......, elle ne s'imprègne pas....., elle coule dessus, et même on la voit.  C'est souvent celles-là qui sont les plus appropriées pour ma récompense de ce soir.  Pourquoi ?

Parce que lorsque je rentrerai ce soir, et que tout sera terminé, je me prendrai une bonne bière froide au frigo, puis attention les mecs, parce que je retirerai une de mes grosses TERRAS encore chaude, je verserai le contenu de ma bière au complet dedans, puis je boierai cette bière aphrodisiaque à même ma grosse TERRA en cuir, laquelle j'ai portée toute la journée pour faire mes grands travaux.

C'est vraiment la meilleure bière qui soit, croyez-moi !

Tiens, Sylvain....., toi qui m'a conseillé de parler de la façon dont je m'y prenais pour prendre une bonne bière autrement !

Jonathan est probablement le jeune mec qui m'impressionne le plus.  Il trippe sur les mecs à grosses KODIAKS sales, dans les pelles mécaniques et les bulldozers.  Le gros pied botté qui travaille ses KODIAKS sur le plancher ou les pédales du mastodonte.

C'est pourquoi, lorsque ses parents ont fait faire des gros travaux de terrassement derrière la maison chez lui, il a pu facilement s'en donner à coeur joie. Il prenait des photos, il passait ses journées bandées à regarder avec ses jumelles le type qui maniait la pelle mécanique, mais cela ne suffisait pas. Evidemment, il ne provoquait pas, puisque ses parents étaient là, aussi, à la maison, à superviser les travaux.

Mais une journée exceptionnelle s'est improvisée, et il a su en profiter.  En fait, c'était la dernière journée des travaux.  Ses parents étaient partis pour la journée, et le mec sur le bulldozer faisait la finition, la dernière touche avant de rapporter son bulldozer chez lui.

L'opérateur du bulldozer était un type dans la trentaine qui semblait contenir des tonnes de testostérone, et disons-le, ses KODIAKS aidaient beaucoup, c'est pourquoi Jonathan est allé le trouver pendant qu'il fumait une cigarette en prenant une pause, dans son bulldozer toujours.  Il s'est mit à jaser avec le type tout en jetant un coup d'oeil discrètement sur ses grosses KODIAKS de temps à autre, puis, comme on dit, il se sauça.  Il entreprit de parler au mec de ses KODIAKS, lui demandant si ces bottes là étaient résistantes, confortables......, qu'il voulait s'en acheter une paire mais ne savait pas trop s'il devait choisir cette marque car des bottes neuves, c'est "JAMAIS" confortable.

Le mec du bulldozer retira ses bottes en un seul geste, lui passa et dit: "Tiens, essaye les miennes, c'est à peu près ta pointure, faque ça va te donner une idée !"  Jonathan est devenu soudainement bouillant d'excitation.  Il retira ses sneakers, puis enfila lentement les grosses KODIAKS chaudes, très chaudes du mec dans ses pieds.  Il était bandé comme jamais il l'avait été dans sa vie.

Le mec lui dit: " Pis ?"   Jonathan répondit nerveusement: " C'est wow men !  C'est l'enfer !"   Jonathan réalisait qu'il avait réellement ces bottes-là dans ses pieds....., celles du mec à la testostérone !  Des grosses KODIAKS chaudes, fraîches de la sueur des pieds du mec sur le cuir intérieur, Jonathan avait accès à cela réellement, après une semaine de voyeurisme sur ces bottes-là.

Le type du bulldozer lui dit après quelques minutes: " Mais là, va faloir que tu m'les redonnes si j'veux finir ton terrain !"

Jonathan presqu'hypnotisé ne répondait pas...., il était comme dans un état second, et soudainement il répondit au type en se revirant la tête: " Ouais, bien sûr, bien oui !"  Alors il retira les bottes de ses pieds, très lentement en les admirant, tel qu'un rêve qui s'envole en fumée, puis les redonna au type qui les enfila ausitôt de nouveau dans ses pieds en lui disant: "Bin tant mieux si ça t'as aidé à faire ton choix....., moi j'vais aller finir ça !" 

Jonathan n'avait même pas eu à sucer le mec pour être excité comme il ne l'avait jamais été.  Ce qu'il venait de vivre là était amplement suffisant pour le mettre tout de travers pour les semaines à venir.