Bob, un jeune qui vient tout juste d'avoir 18 ans, nous raconte, dans ses propres mots, sont trip de bottes au parc du Mont Royal.
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Chu assis sur un banc, su'l Mont-Royal , Y fait noir, c'est tard le soir, pis y'a pas un chat excepté un gars saoul qui divague, dans la trentaine, habillé genre un peu hippie avec les
ch'veux longs, mais y'é beau en criss, pis yé tellement saoul, que quand y'essaye de se lever, y'a d'la misère à garder l'équilibre, pis il se déhanche tout croche, ca fait qu'son cul dans ses
vieux jeans usés m'excitent. au boutte men. Pis pas rienque ca, y'a des grosses boots de jobber bin usées, quasiment finies dans'pieds, pi pas attachées en plus. Moé, j'le r'garde, pis criss, y
commence à m'exciter quand j'le vois qui enlève son gilet pis son perfecto, pis qu'il crisse ca à terre à côté d'lui. Là, y'a pu juste son vieux jeans à moitié déboutonné pis ses
bottes.
Le gars y'é faite à l'os, mais plus il se dévergonde, plus y'é cochon. Là, j'le vois qui s'en vient vers moé, y'a d'la misère à marcher, y se pogne la poche à travers son jeans, avec ses grosses mains sales...., Il s'asseoie à terre à côté d'moi , pis y raconte n'importe quoi., yinque des niaiseries, mais y m'fait bander men ! Ca pas prit 5 minutes qu'il s'est endormi là... trop faite ! Trop bourré !
Comme on est tu seuls toé deux pis que y'a pas personne dans l'boutte, pendant que l'autre dort, je m'assied à terre à côté pis j'examine ses
bottes. Criss qui sont bandantes men ! Des vraies bottes de jobber jaunes comme j'trippe chez nous. J'me penche, je tchèque encore si y'a pas personne qui nous watche, j'm'approche la tête de ses
bottes , j'me sors la langue pis j'commence à y lécher. J'capotte men....., y sentent bonnes ses criss de bottes . J'leur mange le cuir bin raide. Y sont chaudes, y goutent le cuir en masse,
j'leur bouffe le cap. L'autre lui, y dort pis y ronfle encore, faque comme y'é PAF à l'os, j'me sort le "BAT" de mes jeans, j'm'évache à terre, pis pendant que j'me crosse le "bat" sur une de ses
bottes, j'y mange l'autre, jusqu'à temps que mon BAT se décharge complètement su sa botte. Lui, y s'est pas rendu compte de rien, mais moé j'ai trippé en criss ! Pis chu parti
!
Bob, 18 ans
Une bonne crosse en vieux jeans suivi d'un gros SPLASH de de dèche sur vos bottes.....
C'est une image qui vous inspire ????
Je vous ai déjà mentionné mon fantasme pour le look bottes de travail et jeans. En voici encore quelques exemples. C'est plus fort que moi...., il est certain que ces deux vêtements étaient prédestinés à nous faire bander, telle une conspiration fétichiste vouée à la réussite totale avant même d'être inventée.
Je m'imagine toujours le mec en vieux jeans usé, assis le cul dans ma face, avec ses grosses bottes chaque côté de ma tête, me frôlant les joues, et me remplissant les narines de leur bonne odeur de cuir, alors que ma langue est complètement folle à se régaler du vieux 501 râpé dont elle est victime !
Une des choses excitantes qu'il y a durant l'hiver, c'est de lécher la neige sur les caps d'acier de nos grosses TERRAS ou nos grosses KODIAKS de
construction. Après une journée passée dehors l'hiver avec nos bottes de travail, alors qu'elles sont bien chaudes de l'intérieur et froides de l'extérieur, ayant passées plusieurs heures à
piétiner la neige avec leurs grosses semelles, hummm, il y a deux choses vraiment hot à faire, soit comme je le disais tout à l'heure: lécher la neige fraîche qui traîne sur les caps d'acier de
nos bottes, ou bien mieux encore......, que le mec qui porte les bottes full de neige vous écrase ses grosses semelles robustes et enneigées dans la face, et que vous léchiez ces semelles à
fond de train, savourant la neige qui entassées dans les nervures des semelles excitantes de vos TERRAS.
Jamais la neige n'a goûté aussi bon. Un copain à moi me disais qu'avec son chum, qui trippe également "bottes"
comme lui, ils se faisaient ensemble des goûters de cabanes à sucre en cachette, avec leurs TERRAS. Ils partaient ensemble dans le bois, tous les deux en TERRAS ou en KODIAKS, puis il
marchaient dans les sentiers enneigés jusqu'à une vieille cabane à sucre désafectée, perdue dans la forêt, puis rendus là, ils entraient de la neige dans la cabane qui n'était évidement pas
chauffée, ils versaient du sirop d'érable sur la neige, puis quand le sirop "prenait", il écrasaient leurs grosses bottes sur la tire, et suite à cela, ils échangeaint leurs grosses bottes et
lèchaient la tire d'érable à même les semelles des bottes de l'autre, encore dans leurs pieds, puis ils se crossaient en même temps.
C'était le meilleur temps de l'année: le temps de la cabane à sucre......, pour les gars qui trippent "bottes" bien entendu !
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TERRA
LE COMBLE DU FANTASME
Porter des grosses TERRA, c'est
comme vivre dans une seconde
peau ! (Nathan)