Dimanche 19 avril 7 19 /04 /Avr 02:05
Mon co-loc est un gars de chantier. C'en est un vrai de la CONSTRUCTION. Il est bandant. Après le souper, il prend sa douche pis s'en va chez sa blonde. Je peux donc m'évader dans sa chambre pis me régaler de ses grosses bottes de construction qu'il a porté toute la journée. Le sable et la terre qu'il restait en dessous a eu le temps de sécher parfois et pendant que je me les passe dans la figure, ça me crotte toute la face de sable et de boue, mais c'est LA BOUE DE SES BOTTES......, c'est pas pareil, ça m'excite à l'os, mêlée à l'odeur de ses grosses bottes de travail.

(Jean -Simon, 32 ans)



Je suis dans un club, il fait noir, la musique est forte, y'a pas beaucoup de monde, et le gars qui danse en face de moi a le torse nu, un vieux jeans 501 complètement foutu, et des grosses KODIAK dans les pieds. Il a vu que je fixais régulièrement ses grosses bottes. Par hasard ( et c'est vrai...), on s'est ramassé aux toilettes ensemble. Il m'a fait signe d'enter dans sa toilette, il a fermé la porte et m'a demandé: "Tu veux-tu qu'on échange nos bottes pour la soirée ? " Il a chaussé les miennes et j'ai enfilé les siennes, et nous sommes retournés sur la piste de danse. Je capottais, j'avais ses bottes tant convoitées dans mes pieds à moi.... !


 
(Noah, 26 ans)


Il m'a invité à aller faire un tour dans le parc, tard le soir. C'est alors qu'on se dirige dans le hall d'entrée et que je le vois sortir du garde-robe une grosse paire de NORDEX très crades et usée. Mon coeur se mit à se débattre, et lui les enfile comme si de rien n'était. C'est rendu dans le parc qu'on s'asseoie sur un banc, en dessous d'un arbre, qu'il se colle sur moi, se penche, enlève sa grosse NORDEX mâle de son pied droit, l'amène vers mon visage, puis m'écrase la grosse semelle odorante sur me lèvres et mes joues, sans rien dire.

(Jeff, 30 ans )


Le réparateur de Bell Canada doit venir cet après-midi m'installer une prise supplémentaire dans mes murs, à la maison. C'est à 02:30 qu'il sonne à ma porte. Je vois ce gars d'environ 30 ans rentrer chez moi, avec ses grosses bottes de travail exactement comme je les aime. Il se rend là ou je veux ma prise, s'installe, sort ses outils, se met à genou par terre, et commence le travail, penché vers le plancher. Moi derrière, ce que je vois, c'est un super beau cul dans des culottes bleues de jobber défraîchies, et en gros plan, tout le dessous de ses grosses bottines qui m'obsèdent. Comme pour me torturer davantage, il doit se coucher complètement par terre pour mieux voir, et moi je suffoque encore au pire, puisque là, j'ai quasiment ses bottes qui me frôlent les pieds. Je ne bouge pas, je fait par
exprès, mais le cuir de ses bottes, à quelques cm de mon visage tente de me rendre fou. Quand il s'est relevé, j'ai cru qu'il avait remarqué que j'étais méga-raide dans mes jeans !

(Dany, 29 ans)

Je me rappelle cette nuit toride ou j'avais dormi avec un jobber d'entrepôt bien botté.  On avait dormi dansle même lit, bien collé, mais à l'envers, soit en posture de "69" pourque chacun ait les KODIAKS de l'autre  dans sa face. Je dis "DORMIR", mais il était impossible de dormir paisiblement avec des bottes comme ça aussi "disponibles. Je me rappelle m'être à demi- réveiller, avec son gros cap d'acier usé dans la bouche, très chaud et humide, comme si mon plaisir avait suivi mon  demi-sommeil, et que j'en avais profité jusqu'à épuisement, pour m'endormir ainsi. Le cuir du cap goutait encore bon, et je me suis à demi rendormi la joue collée sur la grosse semelle, à l'odeur différente, pour quelques autres minutes d'extase, en attendant la prochaine demi-session de sommeil.

(Claude. 19 ans)



Par JOEY
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Mercredi 8 avril 3 08 /04 /Avr 14:16
Par JOEY
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Mercredi 8 avril 3 08 /04 /Avr 13:41
Dernièrement, alors que je me baladais à moto et que je me cherchais une place pour prendre une pause, pause cochonne surtout.... ! j'ai cru voir un endroit qui me semblait assez curieux et cela m'a intrigué au point de faire demi-tour, et d'aller y jeter un coup d'oeil. Le chemin en terre battu semblait entrer dans le bois et m'amener vers un drôle de bâtiment. Je continuai d'avancer pour voir de plus près qu'est-ce que c'était que cette bizarre de structure. A ma grande surprise, c'était une espèce d'usine isolée, dans une clairière, mais qui avait prit feu...., il ne restait que la structure du sous-sol qui elle , était pénétrable. Cela a dû se passer il y a quelques années car rien n'est souillé et sent le brasier.

                                                                                                   

Je débarque de la moto, enlève mon casque, mes gants, puis m'approche lentement. Wow... ! C"est vraiment inusité...., et quel beau racoin secret pour baiser me suis-je dis aussitôt. Dans la vieille cave ou j'ai descendu, les lieux désafectés me faisaient imaginer plein de scènes perverses, il y avait des graffitis de peinture sur les vieux murs de ciment, ce qui me laissait savoir qu'il y avait d'autres jeunes qui s'étaient installé ici pour je ne sais quoi...., se défouler d'une certaine façon, en cachette, libres, à l'abri. J'examinais les lieux, le sol, il y avait quelques canettes de bière vides sur les remparts, il y avait un vieux jacket en jeans sur le sol....,réellement, ce lieu commencait à m'exciter , il sentait la "débauche", la "délinquance", et je suis sûr que des jeunes sont venus se faire la passe en cachette ici, c'est certain, la preuve: des enveloppes de condoms un peu plus loin sur le sol. Oui, cet endroit m'excite dans le pantalon de cuir de moto.


J'ai donc continué d'avancer. Il y avait une vieille porte devant moi, et j'étais vraiment curieux (et nerveux) de voir ce qu'il y avait à l'arrière. Je m'approchai, l'ouvrit avec peine, et vu que cette pièce semblait être un vestiaire car il y avait 3 cases au fond du mur, me laissant deviner que les quelques employés qui travaillaient ici avant avaient peut-être leur petite case à eux dans cette pièce. Ce qui m'intriguait encore plus, c'est que les cadenas étaient encore sur les portes. Le coeur me débattait et il me prit l'idée d'essayer de forcer les cadenas pour voir à l'intérieur, et peut-être découvrir quelque chose d'intéressant. J'avais un tournevis  sous le siège de la moto, alors je suis allé le chercher, et finalement, le cadenas s'est presque cassé lui-même sans que j'aie à forcer, peut-être à cause de la chaleur et de l'usure. J'ouvris la porte de la case, et qu'est-ce que j'y appercois : Une énorme paire de bottes de construction sur le plancher de la case, et une chemise de chasse carottée vétuste accrochée à l'intérieur. Mon coeur débattait, mais comme il ne se pouvait pas qu'il y ait d'autre personnes que moi ici, je me suis penché lentement vers la paire de bottes, j'en pris une dans mes mains et l'approcha lentement de mon visage pour mieux la voir (car il faisait très sombre dans cette pièce désafectée).
 
Je bandais dans mon short, elle était intacte, avait gardé son usure normale et sentait le vieux renfermé, la poussière, le vieux, comme dans les greniers de maison. Je la tournais de côté comme on examine une oeuvre d'art, j'examinais l'intérieur, la grosse semelle, et j'étais de plus en plus bandé à la seule idée de rapporter cette paire de botte avec moi dans mon sac à dos.

 

J'ai sorti l'autre botte de la case, elle était elle aussi dans un bon état, tout comme l'autre, aussi bien conservée, pouvant lire la marque " KODIAK " dessus. Ca devait être des 11 ou des 12...., je ne sais trop, le gars qui les avaient porté devait avoir quand même des assez grands pieds, car elles étaient massives.

 

Après avoir un peu nettoyé l'intérieur, avec le jacket de jeans qui était par terre pas loin, j'ai retiré les miennes, puis je me les suis mises dans les pieds. Ouf ! quel sentiment, j'ai marché dans les lieux avec en les regardant, et j'étais bandé sur le bord de venir tellement celà m'excitait. Je décidai donc, tout en gardant les bottes dans mes pieds, d'aller fouiner dans les autres cases de la pièce sombre. La deuxième porte a été aussi facile à ouvrir, mais il n'y avait rien à l'intérieur. Déception. Mais il en restait une encore, alors tant qu'à y être, allons voir dans la troisième. J'ai ouvert la porte, et à mon étonnement, chose quasi irréelle, il y avait encore une fois une autre grosse paire de bottes de construction dans celle-ci. Des TERRAS. Je n'en croyais pas mes yeux, c'était incroyable !

 

Par le même processus, je me suis penché, les ai sorti elles aussi du casier, elles avaient une odeur plus marquante que les premières, ceux que je portais, et elles étaient un peu plus usées. J'enlevai la première paire de mes pieds, puis j'enchaussai la deuxième paire pour me régaler des frissons que ces bottes m'ont fait passer dans tout le corps. Chaque intérieur de bottes est moulée différement par les pieds du gars qui les a portés, et celles-ci me faisait deviner que c'était un ouvrier grand et massif qui les avaient porté car les semelles étaient usées différement.

 

Je me suis jeté par terre dans la pièce, à plat ventre sur le sol, puis me suis mis à sniffer la nouvelle paire de bottes, à me frotter la figure dessus pour en jouir dans tous les angles. Je me dévergondais dans le cuir "rought" et usé de la grosse botte, je m'en écrasais la grosse semelle dans la figure pour mieux la sentir, comme si le mec m'aurait écrasé sa botte dans la face pour me dominer.

 

                                                                                                

Mais soudainement, j'ai entendu du bruit, comme quelqu'un, ou plutôt 2 ou 3 personnes qui semblaient approcher de mon refuge secret. J'ai repoussé la porte pour rester bien cacher dans la petite pièce sombre, sans bouger, en attendant qu'ils passent, mais je suis devenu hyper nerveux lorsque j'ai vu qu'ils entraient eux aussi dans la cave de la vieille usine. Comme il y avait quelques fentes dans les vieux murs de ciment, je pouvais voir "QUI" s'appropriait les lieux de mes fantasmes. Autre étonnement, encore aussi incroyable, il s'agissait de deux jeunes dans la vingtaine, le torse nu, en jeans, avec, DEVINEZ...., des grosses bottes de travail dans les pieds... tous les deux. Bon sens, suis-je dans un rêve ? Est-ce que j'hallucine ? Mais c'est incroyable. Les deux jeunes mecs du genre « bums » aux cheveux longs, qui sûrement n'avaient pas remarqué ma moto en arrière du bâtiment, et qui se croyaient seuls dans la cave se jettèrent un sur l'autre et se mirent à s'embrasser à pleine gueule en se dévergondant les mains sur les boutons de leurs 501 respectifs. Ils gémissaient de plus en plus. Un d'eux se pencha à 4 pattes devant l'autre pour le déboutonner et engorger d'un seul coup son immense queue dans sa bouche. Il le sucait à fond, à une vitesse assourdissante. Je ne savais plus quoi faire:  Est-ce que je reste muet dans mon p'tit coin à faire le voyeur, ou si je fais intrusion avec eux.... je ne sais plus quoi faire, et mon coeur bat à une vitesse démesurée.

 

Ces deux corps de jeunes bums dans leurs grosses bottes aphrodisiaques sont entrain de me rendre dingue.  Comme je suis toujours couché à plat ventre sur le sol, je sens ma queue raide se labourer un chemin dans la terre du sol pour bander encore plus. Les deux jeunes, eux, ont enlevé leur jeans, et sont flambant nus avec leurs grosses bottes, ils se démènent le bassin comme je n'ai jamais vu, et les mouvements de leurs corps qui se propagent jusqu'à leurs gros pieds bottés virilement me donnent la chair de poule. Mais  ce qui m'a décidé de demeurer caché dans mon coin à faire le voyeur, c'est qu'un des deux a dit: "Criss, issite on peut fourrer en paix, c'est pas comme au pen. Mais faudra pas qui nous r'trouvent parce que tabar...., va faloir y r'tourner caliss !"

 

Donc, c'était deux jeunes évadés de prison, en cavale, qui s'envoyaient en l'air. J'étais vraiment nerveux dans cette situation, je me sentais à la fois dans un film 3-X et à la fois dans un drame policier, mais dans les deux, ca me brassait dans la cage, le cul, le cul, le cul, puis les bottes, puis les mâles....., c'était trop ! J'ai décidé de ne pas bouger, de toute façon, j'en étais incapable, j'étais figé sur le sol,  raide comme de l'acier.

 

Ils avaient des super de beaux corps imberbes avec une peau lustrée et foncée. Je me disais: "Ce serait cool qu'ils repartent et me laissent leurs bottes eux aussi ! " Mais là.... !

 

Les deux gars, eux, continuaient de se manger la queue mutuellement, ils ne trippaient pas BOTTES, mais moi si, sans qu'ils se doutent que quelqu'un de bandé les épiaient. Un d'eux était plus délinquant que l'autre et il n'arrêtait pas de lui cracher sur le corps et la queue, et cela semblait faire jouir le deuxième énormément. Finalement, ils ont explosé tous les deux un sur l'autre, en même temps en se lamentant et lâchant des soupirs ressemblant à des hurlements d'animaux sauvages. Je voyais les grands jets puissants de sperme revoller chacun sur le corps de l'autre, c'était incroyable. Il y avait du jus dans ces couilles là, ouf !

 

Un a sorti des mouchoirs, puis a nettoyé le torse de l'autre, puis le sien par après...., il avait tout ramassé dans le même mouchoir qu'il laissa sur les rebords du solage, à la hauteur de leurs têtes. Ils réenfilèrent leurs jeans, puis quittèrent les lieux aussitôt. Oufff..., je suis dans tous les états.  J'ai attendu un peu, immobile toujours, m'assurant que j'étais redevenu solitaire dans mon paradis pervers, je suis sorti de mon racoin, puis me suis dirigé vers le lieu ou la grande débandade s'était déroulé entre les deux jeunes mecs heavy. Mais ce qui attira mon attention le plus, c'était le gros mouchoir, à ma hauteur, qui contenait tout le bon jus bouillant de ces deux beaux bums ! Je m'approchai, prit le mouchoir encore chaud dans mes mains, l'ouvrit, et observa toute la dèche encore bien chaude à l'intérieur.

 

Je décidai de retourner dans ma petite pièce avec le mouchoir, prit une des deux grosses paires de bottes que j'avais trouvée dans les casiers, puis après en avoir nettoyées au moins les caps d'acier, je vidai tout le contenu du mouchoir sur les caps des bottes. Le flot de sperme qu'avait laissé les deux jeunes bums dans le mouchoir dégoulinait maintenant sur mes nouvelles bottes. J'ai pris les grosses bottes dans mes mains, ai approchai mon visage des bottes pour seulement respirer et hûmer l'odeur du jus de ces mecs, puis lentement, je me suis mis à promener ma langue sur les bottes, dans leur jus blanc, chaud et épais. Je pouvais m'amuser dans les entrailles puissantes de ces deux voyous, sur les grosses bottes de 2 inconnus, que je venais juste de ramasser. C'était l'apothéose. Je promenais l'autre botte bien beurrée elle aussi sur ma figure, et je sentais leur sperme me rentrer dans les joues et figer là. J'avais les yeux fermés, et je m'imaginais que ces deux mecs m'étaient venus direct dans la figure, et que j'avais dans ma bouche une partie de leur corps....., la partie la plus virile qui soit: leur puissant venin de gars.

 

Une fois les deux KODIAKS bien nettoyées de tout le jus qu'elles contenaient, je repris le mouchoir des deux gars pour le sentir une dernière fois, me nettoyer le visage avec, du reste de leur semence, avant de m'en défaire . Puis ce fut à mon tour de venir comme un cheval, à grands jets, toujours sur les mêmes deux grosses bottes que j'avais ramassé là. A peine nettoyées de la dèche des deux jeunes voyous, elles se remplissaient à nouveau de ma dèche à moi, en quantité énorme également, et ce n'est pas surprenant, après tout ce temps que ma queue s'est retenue en faisant le voyeur pervers sur le sol !

 

J'ai pris le vieux jacket de jeans encore une fois, celui qui était sur le sol à mon arrivée, ai débeurrée la paire de KODIAK de mon sperme, j'ai ensuite dépoussiérée l'autre paire que j'avais trouvé, ai tout mit dans mon sac à dos, puis je suis rembarqué sur ma moto, direction à la maison. Je n'arrivais même pas à débander, même assis sur la moto, pour repartir.  J'étais encore aussi raide qu'à l'instant ou j'ai déchargé férocement sur ces bottes.

 

Revenu à la maison, j'ai vidé mon sac à dos des 2 paires de Kodiak et de Terras que j'avais rapporté, puis avant d'aller dormir, je me suis encore payé la traite avec, en repensant à cette scène épouventablement toride que j'avais vécu durant l'après-midi. J'en suis encore troublé d'ailleurs. Mais ces deux paires de bottes porteront à leur nom toute une aventure !

Par JOEY
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Mercredi 8 avril 3 08 /04 /Avr 04:30

Les mecs aiment bien généralement savourer les odeurs qui ressortent  de leurs grosses bottes de construction !  D'ailleurs le cuir procure toujours des odeurs aphrodisiaques, alors si c'est celui d'une grosse botte de construction impliquant la sueur du mec bandant qui les a portées toute la journée au chantier, c'est certain que l'odeur résultante du mélange peau, cuir, sueur et humidité nous fourniras une composante qui ne pourra faire autrement que de nous exciter. Les mecs s'amusent à faire celà entre eux en même temps qu'ils font des trips de bottes, ils aiment sniffer leurs bottes de l'extérieur pour y capter les odeurs environnantes qui ont laissées leur trace sur le cuir, puis ensuite ils demandent à leur mec de les enlever pour se régaler des odeurs intérieures tout aussi ennivrantes.
Par JOEY
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Mercredi 8 avril 3 08 /04 /Avr 02:58
Ils se sont donc donné rendez-vous le lendemain soir, chez Jonathan.  Sébass avait enfilé ses fringues de la journée d'avant, puis prit la route vers chez eux.  Arrivé chez Jonathan, il sonne à la porte, angoissé, jusqu'à temps que Jonathan lui ouvre et lui demande de le suivre tout de suite à la cave. Jonathan avait revêti une grosse chemise de chasse carottée poussiéreuse par dessus son t-shirt et il me semblait ses TERRAS détachées être encore plus bandantes que la journée d'avant. C'est alors que nous sommes descendus en bas, et à ma grande surprise, il y avait également trois amis de Jonathan évachés sur des divans, en jeans et grosses bottes de travail sales et usées, tous dans la vingtaine.  C'était vraiment pas le scénario prévu dans ma tête.  Jonathan me dit: " J'te présente mes chums de travail, Simon, Tommy, pis Samuel".  Les trois mecs me dirent presque en même temps: "Salut men, on va tripper à soir mon vieux, juste à voir tes boots, chu déjà raide comme le caliss !"

                                                                                                         
Les tois mecs étaient super bien baraqués, avec une belle peau brune et luisantes.  Ils travaillaient avec Jonathan, mais è l'entrepôt.  Jonathan dit: " Tu comprends-tu maintenant pourquoi j'aimes ça aller à l'entrepôt .... ?  Le soir, quand je rentre là pis que Simon est là pis y'a pas de boss, il me laisse manger ses bottes sur un tas de planches, pis je lui vient dessus tu-suite !  Quand c'est Simon, il me laisse sniffer ses bottes pendant que j'me crosse à plat ventre par terre dans la rippe de bois ! Pis Samuel lui, son tip, c'est que j'enlève une de mes bottes pis que j'y mette dans face pour qu'il renifle ma transpiration pris dans l'cuir en dedans !  On a du fun en criss issite men !"

Ouff, j'étais dans tous les états.  Je savais pas qu'il pouvait se passer des trips de même dans des RONA ! 

Jonathan partit chercher quelques bières.  Moi j'étais assis sur un divan à côté de Tommy, celui qui m'excitait le plus.  Tommy commença aussitôt à  tâter la bosse de mon jeans avec un sourire hyper cochon puis me dit: " Tantôt, tu vas me bouffer ça ces grosses bottes là pis j'veux manger ta dèche dessus !"

Sébass arriva avec les bières, il en ouvrit une pour chaque, tamisa les lumières, mit du rock heavy métal dans la pièce, puis s'assied collé sur Simon. Je regardais la scènes et je ne pouvais pas m'imaginer que j'étais entouré de tous ces beaux p'tits mecs de rêve en bottes.  Tout-à-coup, Tommy se leva puis enleva son t-shirt, nous montrant un beau torse découpé et bronzé.  Il me jeta son chandail à la figure, puis dit: "Là, j'vas m'coucher par terre, pis j'veux toutes vos bottes dans ma face !"  Tommy s'étendit de tout son long par terre, on a rapproché les divan et tout le monde s'est mit à lui piétiner la face avec leurs grosses bottes de construction.  Tommy se lamentait tout en se déhanchant par terre de plaisir.  Il léchait toutes les bottes avec sa langue, dessous, sur les côtés, partout, il disait que ca sentait le mâle, que c'était bon, qu'il en voulait plus encore.  Jonathan enleva une de ses grosses TERRAS, puis lui rentra la face dedans en lui disant: " Tiens mon criss, sniffe moé ça ".  Soudainement Simon me dit: " Aye Sébass " , alors je levai la tête, et c'est alors qu'il me cracha toute sa bière à la figure avec un sourire de pure salope.  Il y en avait plein sur ses bottes alors il me dit: "R'garde, c'est de ta faute, lèche-moé ça !"  Alors je me remis par terre puis commença à lécher les grosses bottes de Simon à pleine gueule.

                                                            
Durant ce temps, Tommy la tête prise entre toutes nos grosses bottes usées, s'était foutu à poil et nous demandait de lui jouer avec nos bottes sur la queue.  Il devait avoir une queue de sûrement 10 pouces, c'était l'enfer tellement qu'il était bandé raide.  Moi et Simon on lui jouait dans la face avec nos TERRAS, et Samuel lui passait ses grosses KINGTREAD tan  avec des semelles noires sur sa queue. Ca a prit peu de temps que nous nous sommes tous mis à poil avec seulement nos bottes  et que tout nos corps étaient aspergés de bière, en se roulant tous par terre les uns sur les autres pour se manger les bottes virilement, et parfois, on prenait les jeans des autres pour s'essuyer la face. C'était la déprave totale, quand soudainement, Simon demanda le silence et l'attention, il retira une de ses grosses bottes de travail, puis cracha son venin partout sur la botte.  Pendant que deux de nous léchait la dèche chaude en même temps sur sa botte, un autre avait la tête en dessous et la bouche ouverte pour avaler tout ce qui dégoulinait de la botte.

Ensuite, après quelques minutes, ce fut au tour de Tommy de s'asseoir et de demander le silence. Tommy demanda à Jonathan de se lever debout, puis pendant qu'il lui boufferait ses gros caps d'acier, Jonathan devrait venir sur ses propres bottes pour qu'il recoivent la dèche violemment, de haut, et qu'il la mange à mesure qu'elle éclabousserait sur les bottes. Alors Jonathan se leva debout au-dessus de Tommy, écarta bien les jambes en position de p'tit voyou, puis commenca à se crosser.  Ca n'a prit que quelques secondes pour qu'il décharge à flot sur ses bottes, regardant Tommy se régaler de la dèche bouillante et en feu.

Tous les gars se sont payés un méchant trip de bottes ce soir là, sur le thème des p'tits mecs mâles et virils qui savent se faire du fun entre eux.  Après cet épisode chaude de déprave, on a nous prit notre douche ensemble, puis on s'est rhabillé, seulement nos jeans et nos bottes, le torse nu, puis on est retourné sur les lieux de la précédente débauche pour prendre une autre bière bien tranquilles, chacun bien collé sur un autre.

Je n'aurais jamais pu imaginer quelque chose de semblable lorsque je suis allé pour la première fois à la quincaillerie chercher les matériaux de mon père.  Eh bien celui-ci, je lui dois une fière chandèle aujourd'hui !

Par JOEY
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Mercredi 8 avril 3 08 /04 /Avr 02:48
Par JOEY
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