Mercredi 8 avril 3 08 /04 /Avr 13:41
Dernièrement, alors que je me baladais à moto et que je me cherchais une place pour prendre une pause, pause cochonne surtout.... ! j'ai cru voir un endroit qui me semblait assez curieux et cela m'a intrigué au point de faire demi-tour, et d'aller y jeter un coup d'oeil. Le chemin en terre battu semblait entrer dans le bois et m'amener vers un drôle de bâtiment. Je continuai d'avancer pour voir de plus près qu'est-ce que c'était que cette bizarre de structure. A ma grande surprise, c'était une espèce d'usine isolée, dans une clairière, mais qui avait prit feu...., il ne restait que la structure du sous-sol qui elle , était pénétrable. Cela a dû se passer il y a quelques années car rien n'est souillé et sent le brasier.

                                                                                                   

Je débarque de la moto, enlève mon casque, mes gants, puis m'approche lentement. Wow... ! C"est vraiment inusité...., et quel beau racoin secret pour baiser me suis-je dis aussitôt. Dans la vieille cave ou j'ai descendu, les lieux désafectés me faisaient imaginer plein de scènes perverses, il y avait des graffitis de peinture sur les vieux murs de ciment, ce qui me laissait savoir qu'il y avait d'autres jeunes qui s'étaient installé ici pour je ne sais quoi...., se défouler d'une certaine façon, en cachette, libres, à l'abri. J'examinais les lieux, le sol, il y avait quelques canettes de bière vides sur les remparts, il y avait un vieux jacket en jeans sur le sol....,réellement, ce lieu commencait à m'exciter , il sentait la "débauche", la "délinquance", et je suis sûr que des jeunes sont venus se faire la passe en cachette ici, c'est certain, la preuve: des enveloppes de condoms un peu plus loin sur le sol. Oui, cet endroit m'excite dans le pantalon de cuir de moto.


J'ai donc continué d'avancer. Il y avait une vieille porte devant moi, et j'étais vraiment curieux (et nerveux) de voir ce qu'il y avait à l'arrière. Je m'approchai, l'ouvrit avec peine, et vu que cette pièce semblait être un vestiaire car il y avait 3 cases au fond du mur, me laissant deviner que les quelques employés qui travaillaient ici avant avaient peut-être leur petite case à eux dans cette pièce. Ce qui m'intriguait encore plus, c'est que les cadenas étaient encore sur les portes. Le coeur me débattait et il me prit l'idée d'essayer de forcer les cadenas pour voir à l'intérieur, et peut-être découvrir quelque chose d'intéressant. J'avais un tournevis  sous le siège de la moto, alors je suis allé le chercher, et finalement, le cadenas s'est presque cassé lui-même sans que j'aie à forcer, peut-être à cause de la chaleur et de l'usure. J'ouvris la porte de la case, et qu'est-ce que j'y appercois : Une énorme paire de bottes de construction sur le plancher de la case, et une chemise de chasse carottée vétuste accrochée à l'intérieur. Mon coeur débattait, mais comme il ne se pouvait pas qu'il y ait d'autre personnes que moi ici, je me suis penché lentement vers la paire de bottes, j'en pris une dans mes mains et l'approcha lentement de mon visage pour mieux la voir (car il faisait très sombre dans cette pièce désafectée).
 
Je bandais dans mon short, elle était intacte, avait gardé son usure normale et sentait le vieux renfermé, la poussière, le vieux, comme dans les greniers de maison. Je la tournais de côté comme on examine une oeuvre d'art, j'examinais l'intérieur, la grosse semelle, et j'étais de plus en plus bandé à la seule idée de rapporter cette paire de botte avec moi dans mon sac à dos.

 

J'ai sorti l'autre botte de la case, elle était elle aussi dans un bon état, tout comme l'autre, aussi bien conservée, pouvant lire la marque " KODIAK " dessus. Ca devait être des 11 ou des 12...., je ne sais trop, le gars qui les avaient porté devait avoir quand même des assez grands pieds, car elles étaient massives.

 

Après avoir un peu nettoyé l'intérieur, avec le jacket de jeans qui était par terre pas loin, j'ai retiré les miennes, puis je me les suis mises dans les pieds. Ouf ! quel sentiment, j'ai marché dans les lieux avec en les regardant, et j'étais bandé sur le bord de venir tellement celà m'excitait. Je décidai donc, tout en gardant les bottes dans mes pieds, d'aller fouiner dans les autres cases de la pièce sombre. La deuxième porte a été aussi facile à ouvrir, mais il n'y avait rien à l'intérieur. Déception. Mais il en restait une encore, alors tant qu'à y être, allons voir dans la troisième. J'ai ouvert la porte, et à mon étonnement, chose quasi irréelle, il y avait encore une fois une autre grosse paire de bottes de construction dans celle-ci. Des TERRAS. Je n'en croyais pas mes yeux, c'était incroyable !

 

Par le même processus, je me suis penché, les ai sorti elles aussi du casier, elles avaient une odeur plus marquante que les premières, ceux que je portais, et elles étaient un peu plus usées. J'enlevai la première paire de mes pieds, puis j'enchaussai la deuxième paire pour me régaler des frissons que ces bottes m'ont fait passer dans tout le corps. Chaque intérieur de bottes est moulée différement par les pieds du gars qui les a portés, et celles-ci me faisait deviner que c'était un ouvrier grand et massif qui les avaient porté car les semelles étaient usées différement.

 

Je me suis jeté par terre dans la pièce, à plat ventre sur le sol, puis me suis mis à sniffer la nouvelle paire de bottes, à me frotter la figure dessus pour en jouir dans tous les angles. Je me dévergondais dans le cuir "rought" et usé de la grosse botte, je m'en écrasais la grosse semelle dans la figure pour mieux la sentir, comme si le mec m'aurait écrasé sa botte dans la face pour me dominer.

 

                                                                                                

Mais soudainement, j'ai entendu du bruit, comme quelqu'un, ou plutôt 2 ou 3 personnes qui semblaient approcher de mon refuge secret. J'ai repoussé la porte pour rester bien cacher dans la petite pièce sombre, sans bouger, en attendant qu'ils passent, mais je suis devenu hyper nerveux lorsque j'ai vu qu'ils entraient eux aussi dans la cave de la vieille usine. Comme il y avait quelques fentes dans les vieux murs de ciment, je pouvais voir "QUI" s'appropriait les lieux de mes fantasmes. Autre étonnement, encore aussi incroyable, il s'agissait de deux jeunes dans la vingtaine, le torse nu, en jeans, avec, DEVINEZ...., des grosses bottes de travail dans les pieds... tous les deux. Bon sens, suis-je dans un rêve ? Est-ce que j'hallucine ? Mais c'est incroyable. Les deux jeunes mecs du genre « bums » aux cheveux longs, qui sûrement n'avaient pas remarqué ma moto en arrière du bâtiment, et qui se croyaient seuls dans la cave se jettèrent un sur l'autre et se mirent à s'embrasser à pleine gueule en se dévergondant les mains sur les boutons de leurs 501 respectifs. Ils gémissaient de plus en plus. Un d'eux se pencha à 4 pattes devant l'autre pour le déboutonner et engorger d'un seul coup son immense queue dans sa bouche. Il le sucait à fond, à une vitesse assourdissante. Je ne savais plus quoi faire:  Est-ce que je reste muet dans mon p'tit coin à faire le voyeur, ou si je fais intrusion avec eux.... je ne sais plus quoi faire, et mon coeur bat à une vitesse démesurée.

 

Ces deux corps de jeunes bums dans leurs grosses bottes aphrodisiaques sont entrain de me rendre dingue.  Comme je suis toujours couché à plat ventre sur le sol, je sens ma queue raide se labourer un chemin dans la terre du sol pour bander encore plus. Les deux jeunes, eux, ont enlevé leur jeans, et sont flambant nus avec leurs grosses bottes, ils se démènent le bassin comme je n'ai jamais vu, et les mouvements de leurs corps qui se propagent jusqu'à leurs gros pieds bottés virilement me donnent la chair de poule. Mais  ce qui m'a décidé de demeurer caché dans mon coin à faire le voyeur, c'est qu'un des deux a dit: "Criss, issite on peut fourrer en paix, c'est pas comme au pen. Mais faudra pas qui nous r'trouvent parce que tabar...., va faloir y r'tourner caliss !"

 

Donc, c'était deux jeunes évadés de prison, en cavale, qui s'envoyaient en l'air. J'étais vraiment nerveux dans cette situation, je me sentais à la fois dans un film 3-X et à la fois dans un drame policier, mais dans les deux, ca me brassait dans la cage, le cul, le cul, le cul, puis les bottes, puis les mâles....., c'était trop ! J'ai décidé de ne pas bouger, de toute façon, j'en étais incapable, j'étais figé sur le sol,  raide comme de l'acier.

 

Ils avaient des super de beaux corps imberbes avec une peau lustrée et foncée. Je me disais: "Ce serait cool qu'ils repartent et me laissent leurs bottes eux aussi ! " Mais là.... !

 

Les deux gars, eux, continuaient de se manger la queue mutuellement, ils ne trippaient pas BOTTES, mais moi si, sans qu'ils se doutent que quelqu'un de bandé les épiaient. Un d'eux était plus délinquant que l'autre et il n'arrêtait pas de lui cracher sur le corps et la queue, et cela semblait faire jouir le deuxième énormément. Finalement, ils ont explosé tous les deux un sur l'autre, en même temps en se lamentant et lâchant des soupirs ressemblant à des hurlements d'animaux sauvages. Je voyais les grands jets puissants de sperme revoller chacun sur le corps de l'autre, c'était incroyable. Il y avait du jus dans ces couilles là, ouf !

 

Un a sorti des mouchoirs, puis a nettoyé le torse de l'autre, puis le sien par après...., il avait tout ramassé dans le même mouchoir qu'il laissa sur les rebords du solage, à la hauteur de leurs têtes. Ils réenfilèrent leurs jeans, puis quittèrent les lieux aussitôt. Oufff..., je suis dans tous les états.  J'ai attendu un peu, immobile toujours, m'assurant que j'étais redevenu solitaire dans mon paradis pervers, je suis sorti de mon racoin, puis me suis dirigé vers le lieu ou la grande débandade s'était déroulé entre les deux jeunes mecs heavy. Mais ce qui attira mon attention le plus, c'était le gros mouchoir, à ma hauteur, qui contenait tout le bon jus bouillant de ces deux beaux bums ! Je m'approchai, prit le mouchoir encore chaud dans mes mains, l'ouvrit, et observa toute la dèche encore bien chaude à l'intérieur.

 

Je décidai de retourner dans ma petite pièce avec le mouchoir, prit une des deux grosses paires de bottes que j'avais trouvée dans les casiers, puis après en avoir nettoyées au moins les caps d'acier, je vidai tout le contenu du mouchoir sur les caps des bottes. Le flot de sperme qu'avait laissé les deux jeunes bums dans le mouchoir dégoulinait maintenant sur mes nouvelles bottes. J'ai pris les grosses bottes dans mes mains, ai approchai mon visage des bottes pour seulement respirer et hûmer l'odeur du jus de ces mecs, puis lentement, je me suis mis à promener ma langue sur les bottes, dans leur jus blanc, chaud et épais. Je pouvais m'amuser dans les entrailles puissantes de ces deux voyous, sur les grosses bottes de 2 inconnus, que je venais juste de ramasser. C'était l'apothéose. Je promenais l'autre botte bien beurrée elle aussi sur ma figure, et je sentais leur sperme me rentrer dans les joues et figer là. J'avais les yeux fermés, et je m'imaginais que ces deux mecs m'étaient venus direct dans la figure, et que j'avais dans ma bouche une partie de leur corps....., la partie la plus virile qui soit: leur puissant venin de gars.

 

Une fois les deux KODIAKS bien nettoyées de tout le jus qu'elles contenaient, je repris le mouchoir des deux gars pour le sentir une dernière fois, me nettoyer le visage avec, du reste de leur semence, avant de m'en défaire . Puis ce fut à mon tour de venir comme un cheval, à grands jets, toujours sur les mêmes deux grosses bottes que j'avais ramassé là. A peine nettoyées de la dèche des deux jeunes voyous, elles se remplissaient à nouveau de ma dèche à moi, en quantité énorme également, et ce n'est pas surprenant, après tout ce temps que ma queue s'est retenue en faisant le voyeur pervers sur le sol !

 

J'ai pris le vieux jacket de jeans encore une fois, celui qui était sur le sol à mon arrivée, ai débeurrée la paire de KODIAK de mon sperme, j'ai ensuite dépoussiérée l'autre paire que j'avais trouvé, ai tout mit dans mon sac à dos, puis je suis rembarqué sur ma moto, direction à la maison. Je n'arrivais même pas à débander, même assis sur la moto, pour repartir.  J'étais encore aussi raide qu'à l'instant ou j'ai déchargé férocement sur ces bottes.

 

Revenu à la maison, j'ai vidé mon sac à dos des 2 paires de Kodiak et de Terras que j'avais rapporté, puis avant d'aller dormir, je me suis encore payé la traite avec, en repensant à cette scène épouventablement toride que j'avais vécu durant l'après-midi. J'en suis encore troublé d'ailleurs. Mais ces deux paires de bottes porteront à leur nom toute une aventure !

Par JOEY
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