LE TRIP DE GILLES
Gilles est vraiment un trippeux de bottes de construction. Je l'ai vu débarquer de son camion, dans
la cour du Canadian Tire cet après-midi, avec ses vieux jeans sales et ses grosses bottes TERRA usées, et juste à le voir, on démarque aussitôt que c'est le gars le plus cochon qui soit lorsqu'IL
porte ses grosses bottes de travail. La démarche qu'il adopte ainsi que la façon de se balancer le bassin lorsqu'il marche nous amène dans un état second instantanément. Mais bon,
voilà: Gilles était au Canadian Tire pour se procurer de l'huile à moteur pour son VTT, je l'ai aussitôt remarqué, comme si j'avais eu le choix....., vous auriez dû le voir ce mâle
irrésistible aussi bien chaussé qu'aussi bien viril...., finalement, il a tout pour lui.
Je l'ai suivi un peu, le temps d'admirer ce qui me paraissait innacessible,
mais je crois qu'il a découvert rapidement mon petit jeu de voyeur. Il est passé à la caisse....., j'étais directement derrière lui, même très près, pouvant même m'approprier l'odeur de sa
grosse chemise carottée qui sentait le feu de foyer, le chalet, la virilité même. Je fixais ses grosses bottes obsédantes pendant qu'il réglait sa facture et le scénario qu'il y avait dans
ma tête faisait gonfler mon jeans à bloc. Je m'imaginais l'odeur de ces bottes et ma langue se les approprier pour les goûter profondément. Je m'imaginais que j'étais comme une larve,
par terre à ses pieds et qu'il me les passait dans le visage, juste pour me faire jouir.
Après qu'il eut payé sa facture, il prit son sac, puis sortit du magasin, se dirigeant directement à son camion, et pendant qu'il placait la marchandise sur le siège passager, il tourne sa tête, et s'est apperçu que j'étais toujours entrain de l'examiner de la tête au pieds, alors il laisse ses choses, se tasse un peu plus loin et me fait signe d'aller le rejoindre. J'étais un peu mal, je me disais qu'il serait sûrement furieux et me dirait:" Qu'est-ce que t'as à me regarder tout le temps, toé ?" Mais non, je m'approche, et lorsque je suis arrivé tout près de lui, il m'empoigne par la taille et m'amène collé sur lui, il approche son visage très près du mien et me dit:" T'as l'air à tripper sur mes bottes...., ou bien chu le pire des caves !"
J'étais très nerveux. Il continua sa phrase: " C'est
quelque chose qui peut s'arranger...., si t'es game !" Il ouvrit la porte de son camion, embarque sur son siège en laissant ses pieds bien à ma vue, et il me dit:" Vas-y...., laisse toi
aller...., t'en meurt d'envie c'est sûr ! " Il avait bien raison. En plein milieu de la cour du Canadian Tire, je me suis mit à genou sur l'asphalte, puis de son siège, il m'a amené
ses gros pieds bottés directement dans ma face pour que je puisse les lui bouffer et sentir. Il dit: " Vas-y...., fais tout ce que tu veux, soulages-toi mon vieux !" J'ai alors posé
ma bouche sur ses grosses TERRA usées pour découvrir encore une fois une exaltation irréelle qui m'a aussitôt fait bander comme un étalon, et j'ai bouffer ses grosses TERRA comme si j'avais eu
cinq langues dans ma gueule.
Je suis venu instantanément dans mes jeans à grandes giclées en
me lamentant, la face carrément sur ses bottes. C'est alors qu'il me dit: " Pis, ça t'as fait du bien ? Faque je peux y aller maintenant ? " J'ai relevé ma tête et le mec me
regardait avec un grand sourire, fier de son coups.
Il tassa ma tête avec son gros pied botté, puis referma sa porte de camion et démarra son moteur, me laissant là, le jeans tout beurrés de ma dèche. J'ai eu à
peine le temps de me relever qu'il pesa sur l'accélérateur et quitta les lieux.
Le
tout se déroule à la plage d'Oka. Je marchais au loin dans les sentiers, près de l'eau, quand soudain j'entends: " Aye, salut ! " Je m'arrête et me retourne; il s'agissait d'un ancien fournisseur
qui livrait au magasin ou je travaillais. Il était assis nu sur une serviette, dans le sable, avec un copain, à poil lui ausi, mais ce qui me fit le plus d'effet, c'est que chacun d'eux avait à
côté de lui sa paire de KODIAK couleur tan, sur la serviette.
Ils
m'invitèrent donc à m'assoeir avec eux quelques moments, alors je me suis mis des leurs. Je jasais donc avec eux, quand même excité d'être là entouré de deux gaillars flambant nus tout près de
moi, même collés sur moi car la serviette n'était surtout pas d'un format JUMBO. Vu que je m'étais rendu là en moto, le soleil commencait à me cuire sous mes gros pantalons de moto en cuir, alors
Marco me dit en me caressant l'entre-jambe: "Enlève-donc ça, tu vas être bien avec nous deux, on va être trois à poil, pis y'a pas personne autour ! " Je réalisais maintenant mieux le " PAS
PERSONNE AUTOUR ", en savourant leurs deux corps nus se mettrent d'un commun accord pour me retirer mon pantalon de moto. Ils me dirent, tout en me déshabillant: " Tourne toi à plat ventre... ! "
Et en me retournant à plat ventre, je me suis ramassé la figure sur une des paires de KODIAK, bien chauffée par le soleil. La scène de "strip" à trois, mêlé à leurs grosses KODIAK à ma portée m'a
instantanément fait raidir sur la serviette, du fait que lorsque je me suis retourné, nous étions maintenant tous les trois à poil, et tous les trois raides comme du fer. Marco et Pascal se sont
immédiatement jetés comme 2 enragés sur mon "bat" en chaleur, puis ils étaient tellement occuppés à me manger à fond que j'en ai profité pour me satisfaire la bouche sur leurs grosses
bottes.
J'avais rentré ma main au complet dans une et je me la dévergondais partout dans le visage en la léchant à fond, autant sur le
cuir jaune usé que sur la grosse semelle odorante. Et comme si ce n'était pas assez, il me fallait maintenant goûter à l'autre paire juste à côté, qui m'excitait autant. Elle était usée
autrement, un autre type d'usure correspondant à un autre type de mec (c'est ce qui m'excite....., le cuir est jamais pareil d'un gars à l'autre ), et celle-là sentait plus fort le gros CUIR.
Leur senteur très prononcée de mec et de cuir fit qu'aussitôt, je me suis plongé le visage dedans du plus que je pouvais pour les savourer à l'extrême tel une bête enragée ! Mais prit à mon p'tit
jeu, Marco et Pascal se sont vite aperçus de la raison de ma "raideur" extrême lorsqu'ils m'ont vu m'engouffrer dans leurs KODIAK en gémissant comme une salope. C'est pourquoi ils ont lentement
cessé de me gruger le "BAT" pour s'attarder sur le sujet qui semblait davantage m'intéresser. Marco m'a fait signe de me lever et de m'assoeir collé contre lui. Pascal s'est lui aussi assied
collé sur Marco, puis ils ont mit les deux paires de KODIAK dans le milieu ( il ne restait plus de place tellement nous étions collés en rond tous les trois).
Nous
étions à ce point collés que l'air que nous respirions ne se résumait qu'à l'odeur de notre peau au soleil, et l'odeur du cuir des KODIAK. C'était hallucinant. Mais le pire était à venir. Après
que les KODIAK s'eurent retrouvés au milieu de nous trois, je regardai Marco et Pascal commencé à se crosser à fond puis un après l'autre , ils ont tout garoché leur foutre partout sur les
KODIAK, en se déhanchant le bassin en plein état de jouissance profonde. Pascal m'a retenu la main pour que j'arrête de me crosser, il m'empêchait de continuer à me faire aller le poignet sans
que je comprenne trop pourquoi, et lorsque j'ai complètement arrêté, Pascal et Marco m'ont prit tous les deux la tête, et me l'ont descendu lentement vers le sol, pour aller m'écraser la bouche
sur leurs KODIAK pleines de sperme. Ils me promenaient le visage dans la grosse dèche chaude, sur leurs KODIAK, puis je me laissais aller à me régaler les lèvres sur leurs bottes , dans leur
foutre dont je prenait quelques lèchées parfois, faisant durer le plaisir.
Marco m'a lâché la main, comme signe que je pouvais continuer ce dont j'avais entrepris. C'est alors que je me suis reprit le
"bat" à tout allure car j'étais à bout, je n'ene pouvais vraiment plus d'être à ce point excité..., c'était rendu quasiment souffrant ! Je me suis arrangé pour dégouliner mon jus sur les bottes à
mon tour, et après je les ais beurrés à fond de ma contribution, nous nous sommes couchés tous les trois à plat ventre, têtes contre têtes, en étoile, puis nous avons bouffé nos 3 jus mélangés
sur les bottes, les trois en même temps, en s'échangeant parfois le sperme, d'une bouche à l'autre
C'était un festin divin, le festin le plus divin que j'avais pris depuis longtemps.
(Luc, 30 ans)
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TERRA
LE COMBLE DU FANTASME
Porter des grosses TERRA, c'est
comme vivre dans une seconde
peau ! (Nathan)