Le blog de KODIAKS-MONDE

 

ll y a des jours dans la vie ou le coeur nous débat plus fort que d'habitude....., dans descourts moments forts, à cause d'un mec ou d'un autre qui s'est trimbalé devant nous dans ses grosses Kodiaks au vécu troublant. Voici les réflexions de Yves, de Danny,et de Julien, qui m'ont raconté leur moment troublant, et je vous les raconte à ma façon aujourd'hui. _________________________________________ Samedi après-midi...., au marché aux puces de St-Eustache, lieu de délice pour les amateurs de grosses bottes, parce qu'il y en a à vendre, et il y en a à tout simplement admirer. Ceux-ci étaient à admirer....., malheureusement. J'aurais aimé mieux qu'elles soient à vendre, mais merde. Le mec est grand, plus de 6 pieds, avec un jean et une grosse chemise de chasse carottée déchirée aux manches et dans le bas ( hummm!), et ce type ( qui ne se doute aucunement de l'effet qu'il crée chez certains individus) se promène sans plus. Il ne sait pas que je le suis en arrière juste pour admirer chaque pas que font ses grosses bottes sur le pavé. Mais il décide qu'il rentre à l'intérieur, se dirige vers les toilettes au bout au fond à droite, entre dans une toilette mais laisse la porte baillée. Il a remarqué que je le suivais c'est sûr, me fournissant peut-être ce grand bonheur. Je fais semblant de me laver les mains, mais je le vois dans le miroir, il est debout, il a la bite sortie, puis sa grosse main sale de travailleur lui fait la job. Plus aucun mystère, j'entre dans la toilette, referme la porte, il se grimpe en p'tit bonhomme sur le siège, puis j'enfile son immense morceau dans ma gueule et lui bouffe comme une vraie salope. Mais je n'ai qu'un but...., je sais qu'il va éclabousser, et je m'arrangerai pour qu'il éclabousse sur ses grosses Kodiaks troublantes. Lorsque je l'ai senti venir, je me suis retiré, puis j'ai reçu les grands jets comme je le voulais, soit dans mes mains et dans ma face. Il s'est calmé et je lui ai dis: Tu me laisses-tu faire de quoi qui m'fait tripper ?" Il dit: "Quoi ?" Je lui réponds, je veut gouter à ça sur tes Kodiaks avant de partir !" Il m'a répondu très simplement: " Pfff, vas-y men, j'm'en calisse !" J'ai répandu le jus que j'avais plein les mains sur ses bottes, me suis penché, puis j'ai tout léché les yeux bien ouverts en réalisant du mieux que je pouvais l'ampleur de mon fantasme. J'ai bouffé ses Kodiaks pis sa dèche, et c'était crissement bon, en plus que sa grosse chemise de chasse salopée sentait le bon feu de bois, comme ses grosses boots ! YVES __________________________________________ J'ai "chatté" avec un mec l'autre soir, soit vendredi dernier. Il m'a invité à me rendre directement chez lui, dans la même soirée. Comme il semblait m'exciter à fond avec sa web cam, j'ai pas résisté, j'ai enfilé mon jacket puis je suis parti. Arrivé à son adresse, j'ai grimpé la longue escalier, j'ai pénétré dans le porticle, et devinez...., bin oui, c'est ça, qu'est-ce qu'il y avait dans le porticle ? Une grosse paire de KINGTREAD hyper sales. Fuck.... qu'est-ce que je fais, parce qu'il y a deux portes d'appartements côte à côte, et je le sais-tu moi à qui elles appartiennent...., à mon mec ou à son voisin ? De toute façon, j'peux pas rester indifférent à ça..., sans mener de bruit , avec un attitude deraton-laveur devant son paquet de biscuit, je me suis penché, puis je m'suis rentré la face dedans au complet en les caressant avec ma main. L'odeur était tellement excitante là-dedans que j'ai pas pu me retenir, j'suis venu tout de suite dans mes culottes. J'ai perdu complètement le contrôle, c'était trop HOT comme senteur, c'était trop viril , c'était même l'odeur la plus virile que j'aie connue à ce jour, imagines, et puis là j'ai l'air fin, parce que j'me présente chez un mec que je connais pas, avec le gros spot mouillé en avant de mes culottes. (MALAISE). Surtout que la porte s'ouvre, et le mec me dit: " T'es Danny ?" Alors je lui réponds que oui, puis il dit:" J'pense que j'va rentrer mes bottes, parce que j'pense qu'on va en avoir besoin tantôt !" DANNY _________________________________________________ Il est tard le soir, je retournes chez moi après un cours d'université, je marche dans Verdun, puis j'entend des pas frayer d'la neige tout près de moi. Je ralentis le pas puis je remarque que dans un coin de cour abandonné, y'a un gars qui est entrain de faire des graffitis sur un mur avec de la peinture. Le pire, c'est que c'était super cool ce qu'il était entrain de faire, alors je m'arrête et lui dis: " Aye, c'est vraiment beau c'que tu fais là !" Il dit: "Pas pire hein, mais tchèque, viens voir....." Le gars était super sympa, alors je m'approche dans la neige à côté d'ou il était, et le mec devait chaussé des grosses bottes de travail qui étaient certainement plus que des 12...., elles étaient immenses, mais j'ignore la marque. Mais la marque, on s'en fout, ce que je voyais là était bien assez. Il commenca donc à me décrire ses fresques, puis me prit par surprise en me disant: " Puis issite, ça va être un gars fucké qui oblige un autre gars à se mettre à genou pis lui licher ses bottes,pendant qu'il se fait tabasser par un autre !" Assez surprit de sa réponse, je lui dis:" Oin, méchant trip.....!" Il continua:" Méchant trip certain, moé j'aime ça qu'un p'tit criss se mette à mes pieds pis que me liche mes bottes....., comme toé là, tu devrais me le faire drètte-là !" Et c'est alors qu'il prit le bras, puis me fis basculer par terre sur le dos, dans la neige, puis m'écrasa ses grosses bottes aux semelles mouillées au complet dans la face ! Il jouait avec ses gros pieds bottés partout dans ma face , et comme on était dans un coin de cour abandonné ou y'avait vraiment personne qui pouvait m'apercevoir, près du mur, de l'autre côté du banc de neige, puis évaché par terre, j'ai décidé de profiter à plein de ces grosses bottes là. Pendant qu'il m'écrasait les semelles de ses grosses bottes de travail de toutes les façons possible, il ouvrit ses pantalons d'armée, se sortit la queue, puis s'est mit à se branler pendant qu'il prenait son pied sur moi, jusqu'à temps qu'il décharge contre le mur, puis il retira ses bottes de ma figures, puis remonta aussitôt ses pantalons comme si rien ne s'était passé, puis me dit: "OK, j'vas continuer mon dessin, ça m'a inspiré !" Je me suis essuyé la face avec les manches de mon manteau, puislui ai dit:"C'est le plus beau dessin de tout Verdun que tu vas faire, si tu dessinesexactement c'te trip là. Puis sans plus, je suis reparti, bandé comme un cheval, en essayant de trouver un coin pour aller me faire venir. J'étais tellement bandé que j'avais d'la misère à marcher. JULIEN. _____________________________________________________________