Le blog de KODIAKS-MONDE

Mon co-loc est un gars de chantier. C'en est un vrai de la CONSTRUCTION. Il est bandant. Après le souper, il prend sa douche pis s'en va chez sa blonde. Je peux donc m'évader dans sa chambre pis me régaler de ses grosses bottes de construction qu'il a porté toute la journée. Le sable et la terre qu'il restait en dessous a eu le temps de sécher parfois et pendant que je me les passe dans la figure, ça me crotte toute la face de sable et de boue, mais c'est LA BOUE DE SES BOTTES......, c'est pas pareil, ça m'excite à l'os, mêlée à l'odeur de ses grosses bottes de travail.

(Jean -Simon, 32 ans)



Je suis dans un club, il fait noir, la musique est forte, y'a pas beaucoup de monde, et le gars qui danse en face de moi a le torse nu, un vieux jeans 501 complètement foutu, et des grosses KODIAK dans les pieds. Il a vu que je fixais régulièrement ses grosses bottes. Par hasard ( et c'est vrai...), on s'est ramassé aux toilettes ensemble. Il m'a fait signe d'enter dans sa toilette, il a fermé la porte et m'a demandé: "Tu veux-tu qu'on échange nos bottes pour la soirée ? " Il a chaussé les miennes et j'ai enfilé les siennes, et nous sommes retournés sur la piste de danse. Je capottais, j'avais ses bottes tant convoitées dans mes pieds à moi.... !


 
(Noah, 26 ans)


Il m'a invité à aller faire un tour dans le parc, tard le soir. C'est alors qu'on se dirige dans le hall d'entrée et que je le vois sortir du garde-robe une grosse paire de NORDEX très crades et usée. Mon coeur se mit à se débattre, et lui les enfile comme si de rien n'était. C'est rendu dans le parc qu'on s'asseoie sur un banc, en dessous d'un arbre, qu'il se colle sur moi, se penche, enlève sa grosse NORDEX mâle de son pied droit, l'amène vers mon visage, puis m'écrase la grosse semelle odorante sur me lèvres et mes joues, sans rien dire.

(Jeff, 30 ans )


Le réparateur de Bell Canada doit venir cet après-midi m'installer une prise supplémentaire dans mes murs, à la maison. C'est à 02:30 qu'il sonne à ma porte. Je vois ce gars d'environ 30 ans rentrer chez moi, avec ses grosses bottes de travail exactement comme je les aime. Il se rend là ou je veux ma prise, s'installe, sort ses outils, se met à genou par terre, et commence le travail, penché vers le plancher. Moi derrière, ce que je vois, c'est un super beau cul dans des culottes bleues de jobber défraîchies, et en gros plan, tout le dessous de ses grosses bottines qui m'obsèdent. Comme pour me torturer davantage, il doit se coucher complètement par terre pour mieux voir, et moi je suffoque encore au pire, puisque là, j'ai quasiment ses bottes qui me frôlent les pieds. Je ne bouge pas, je fait par
exprès, mais le cuir de ses bottes, à quelques cm de mon visage tente de me rendre fou. Quand il s'est relevé, j'ai cru qu'il avait remarqué que j'étais méga-raide dans mes jeans !

(Dany, 29 ans)

Je me rappelle cette nuit toride ou j'avais dormi avec un jobber d'entrepôt bien botté.  On avait dormi dansle même lit, bien collé, mais à l'envers, soit en posture de "69" pourque chacun ait les KODIAKS de l'autre  dans sa face. Je dis "DORMIR", mais il était impossible de dormir paisiblement avec des bottes comme ça aussi "disponibles. Je me rappelle m'être à demi- réveiller, avec son gros cap d'acier usé dans la bouche, très chaud et humide, comme si mon plaisir avait suivi mon  demi-sommeil, et que j'en avais profité jusqu'à épuisement, pour m'endormir ainsi. Le cuir du cap goutait encore bon, et je me suis à demi rendormi la joue collée sur la grosse semelle, à l'odeur différente, pour quelques autres minutes d'extase, en attendant la prochaine demi-session de sommeil.

(Claude. 19 ans)



Dim 19 avr 2009 Aucun commentaire