Lundi 18 janvier
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Le grand culte des
bottes sur la queue....., comment pourrais-je appeller ça autrement ? Il s'agit qu'une partie du cuir d'une KODIAKS ou d'une TERRA frôle ma queue pour que tous mes organes du plaisir se
mettent en marche. Mais qu'est-ce qui se passe alors ? On a le plaisir de sentir la force et la puissante d'un pied d'homme botté et viril nous dominer, oui, mais aussi d'avoir sous
nos yeux cet objet fétiche qui nous excite et nous met dans tous les états.
C'est là que le cerveau se met en marche et analyse chaque nuances des couleurs tan de la grosse botte, il analyse de quelle façon la botte portée par cet homme viril s'est usée, à la vue des
altérations du cuir , parfois grossière, mais parfois très subtile, parfois concrète, parfois nuancée....., notre cerveau devient un indicateur d'état analysant tout ce dont la botte a subi pour
en arriver à cet état parfait qui me rend quasi maladif tellement mon cerveau a fait un bon travail de compilation.
Ensuite, le contact de la botte sur ma queue bandée, et le moment sublime de
ressentir la température de la botte sur mes couilles me fait transvaser, me donne l'impression de passer dans un état second. C'est alors que mon cerveau débute une second analyse,
m'amenant dans l'univers de la sensation sur ma peau. Mon cerveau interprète les zone les plus rugueuses de la botte comme une botte lourde, massive et dominante qui fut malmenée tel un
gars de la construction ne portant aucune attention à ses bottes et s'en servant pour assouvir tout ses besoins les plus dominants sur la matière. Par contre, mon cerveau analyse les zones
les plus douces comme les endroits ou la grosse botte travaille un peu moins dure, mais enmagasine les altérations plus subtiles cette fois: les odeurs qui demeurent, les résidus microscopiques
du chantier qui accumulent différentes variantes de senteurs aphrodisiaques de sueur, de chantier et de cuir. La matière provenant des matériaux du chantier stimule mon cerveau plus que les
autres, puisqu'elle révèle un milieu environnemental plus approprié pour les bottes. Une paire de botte qui sent le "bois fraîchement scié" indique à mon fantasme une scène de
chantier. Une paire de botte qui sentent l'huile ou l'essence indique à mon cerveau qu'il doit gérer dans ma tête des scènes de mécaniciens ou de pompistes dans un garage, voyez-vous ?
Mon cerveau sert donc de connecteur et de stimulant lorsqu'il prend la
forme d'images dans ma tête ! Ensuite, ce n'est pas terminé, puisque mon cerveau doit analyser maintenant la forme de la botte ainsi que les mouvements qu'elles génèrent. On regarde la
bottede travail de près et le cerveau nous propose une façon de voir le super-homme marcher avec, tel un complice agissant pour lui, lui attribuant certains traits de personnalités. C'est
quand même fascinant de s'arrêter quelques instants pour compiler toutes ces informations qui font de nos bottes de construction de véritables machines à sensations !
C'est un peu l'explication du fétichisme, à ma manière, en terme simple.
C'est un peu ce que je ressens purement lorsqu'une grosse paire de KODIAKS remplie de vécu d'homme s'approche de moi et par son contact avec une partie de mon mon corps, me projette dans un
univers parallèle qui active autrement tous les micro systèmes de ma complexité masculine fétichiste.
A vous maintenant de tenter l'expérience, mais si vous lisez ce texte, c'est probablement que c'est déjà fait, et sans doute depuis très longtemps.
Votre bite est le transmetteur par excellence !
JOEY
Par JOEY
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