KODIAKS-MONDE

Après le dîner, Louis-Jacques, pour une raison qu'il ignore, se sent excité.  Toutes ces pensées sont axées vers des choses bandantes qui le hantent.  C'est pourquoi il décida d'aller se payer un bon trip dans les bois derrière la compagnie de chemin de fer, un endroit ou les gars vont pour tripper à travers les branches et les sentiers.  Il enfile son vieux jeans et ses grosses bottes de travail TERRAS, puis prend son vélo, et se rend sur place, sentant dans l'air que ce jour-là, il y aura du cul et des bottes en masse là-bas.

Lorsque Louis-Jacques eut cadenassé son vélo, il prit le premier sentier visible à travers les hautes herbes sauvages, puis avanca vers son grand désir de fantasmes. Il arrêta près d'un arbre, retira son jeans, et sontinua sa promenade à poil avec seulement ses grosses TERRAS aux pieds, et sa bite longue et bandée raide depuis des heures.  Louis-Jacques se sentait bien, nu au soleil dans les champs, au grand air avec ses bottes détachées et sales.

Il croisa deux ou trois mecs, mais ils étaient trop vieux et il les trouvait moches.  Enfin, il ne présageait rien de bien trippant avec ceux-ci, c'est pourquoi il continua son chemin sans plus.  Après quelques minutes, il vit un mec au loin qui semblait être différent de ce qu'il voyait d'habitude ici.  Il s'approcha lentement.  le mec en question était vêtu d'un vieux 501 hyper usé et déchiré, des bottes de construction tout aussi usées, et malgré la chaleur et le soleil, un perfecto en cuir directment sur sa superbe peau lisse et tatouée.

Louis-Jacques se sentit soudainement encore plus excité.  Son coeur s'est mit à battre plus fort et son désir profond de curiosité et de voyeur lui fit s'approcher encore de ce "bum" pour admirer ça de plus près. Pendant qu'il s'avancait, il se crossait en même temps, accentuant le plaisir et préparant comme il faut sa grosse bite en vue d'une aventure  sûre avec ce mec.

Comme il arriva tout près de lui, le mec d'une main se caressait le torse et de l'autre, les boutons gonflés de son 501. C'était quelque chose à voir.  Louis-Jacques, en le fixant dans les yeux, s'approcha encore plus près de lui, puis comme il allait pour lui caresser le cul avec sa main, sur ses jeans, le mec se retourna et le pris à la gorge avec ses grosses mains tatouées, et l'étendit par terre, au sol, sur la terre sèche, puis lui écrasa ses grosses bottes de travail dans la face.  Louis-Jacques resta surpris de sa réaction, mais commenca à en prendre plaisir lorsqu'il comprit que cet "amanchure" de mec jouait un jeu qu'il affectionnait lui-même depuis des années. 

Pendant que ce mec continuait de lui jouer dans la face avec ses grosses bottes, Louis-Jacques se crossait de plus belle en se lamentant de plaisir, surtout lorsque ce bum, du haut de ses six pieds, lui crachait au visage en l'injuriant.  Louis-Jacques profitait de chaque seconde des bottes de travail dans sa face.  Il laissait sa bouche ouverte et ses lèvres désenflouées pour que les grosses semelles des bottes du mec lui râpent la langue en même temps et qu'il lèche cette savoureuse matière mâle et virile.

Soudainement, le mec sortit son gros shaft bandé à travers ses 501 déchirés puis déchargea tout son foutre dans la face de Louis-Jacques.  Le foutre tombait également de ses six pieds avec force et bavure droit dans sa bouche.  Lorsqu'il eu fini, il lui dit: "Tiens ma criss de salope, c'est juste ça que ca te prenait après-midi".  Il lui cracha une dernière fois au visage, puis tout en reboutonnant son 501, il parti sans rien ajouter de plus.

Louis-Jacques avait été comblé d'aplomb cet après-midi là....., plus qu'il aurait espéré.  Une fois relevé lui aussi, il avait encore des marques de bottes au visage.