Lundi 4 janvier
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Oh, voilà que se pointe Stevens, cet espèce de mec ultra cochon qui sur les
chantiers, travaille toujours le torse nu et se déhanche le bassin comme un vrai mâle pervers lorsqu'il marche, avec ses immenses grosses bottes de construction. On apreçoit la sueur couler sur
son torse lorsqu'il fait soleil et chaud, et lorsqu'il passe à côté de nous, on a juste le goût de se jeter par terre et lui bouffer ses bottes sales.
Pendant le travail, c'est le seul qui sait prendre ses pauses de façon vraiment relaxantes. Il se réfugie dans des coins spécifiques du chantier, enlève son jeans, se fout à poil mais garde
ses grosses bottes de travail, et se fait une bonne crosse chaude et intense qui finit toujours par faire jaillir de sa queue ce liquide blanc fantasmatique exclusivement mâle sur son bas-ventre,
puis il ramasse sa dèche avec ses gros gants de jobber, puis se la fout dans la gueule. Voilà comment se déroule les pauses sensuelles de Stevens.
Il ne comprend pas les autres gars

qui travaillent avec lui, de s'asseoir pour
placoter du quotidien ennuyant ou s'embêter à ne rien dire sous prétexte de relaxer. Le corps est une machine complexe qui dépasse la routine. Il a besoin de plus que celà pour
s'ennivrer dans un bien-être profond.
Stevens lance se message à tous les travailleurs de la construction qui en tant qu'hommes virils dans leurs grosses bottes sales: "Faites-vous du bien entre vous les gars, pendant que vos femmes
ne sont pas là !" Vous en ressortirez plus calmes, exaltés, désennuyés, et ce moment suprême de la journée vous aidera à reprendre et répéter la routine !
Laissez-vous aller, seuls, à deux, ou en groupe. Dans le fond de chaque worker viril se cache un mec qui est attaché à ses grosses bottes, alors, amusez-vous les gars !
MIKE, pour STEVENS