KODIAKS-MONDE

Je suis à la cafétéria, au travail, en train de prendre mon dîner, quand tout à coup, arrive un gars de la maintenance des bâtiments avec l’électricien.  Ils arrivent pour prendre leur dîner, mais il ne reste que 2 places de libres, et ce sont les deux en face de moi, à la même table, alors les 2 mecs s’assoient en face de moi.  J’avais remarqué leurs grosses Terra usés dans leur pieds lorsqu’ils sont rentrés, ouf.... ! Et là, juste à savoir que ces bottes-là sont presque collées sur mes pieds à moi sous la table, j’en tremble presque !  Nous avons commencé à jaser et rigoler ensemble jusqu’à temps que la cafétéria se vide lentement et qu’il ne reste plus que nous trois, car il était déjà 13h30 de l’après-midi. Le mec de la maintenance s’est levé, puis a quitté lui aussi car il avait une commission à faire à l’extérieur, alors il ne restait plus que moi et l’électricien, en linge de travail et grosses Terras usées à grande pointure.  On continuait de jaser à la table, un en face de l’autre.  Il était vraiment mâle.  Il s’est levé pour aller à la machine à café, et bien entendu, j’ai suivi de mes yeux ses grosses bottes, mais pas aussi discrètement que je l’aurais pensé, puisque lorsqu’il est revenu s’asseoir à la table devant moi, il m’a dit: « Tu trouves-tu que j’ai des belles bottes ? »  Je lui dis: « Bien sûr mon vieux, je veux justement m’en procurer des comme ça ! » et sans plus, nous avons changé de sujet et commencé à discuter d’autres choses, seuls à seuls dans le grand calme qui sévissait dans la cafétéria à ce moment-là !  Mais soudainement, en jasant, j’ai senti sous la table ses grosses Terras bandantes se poser  sur mes jeans, à ma fourche.  Le coeur s’est mit à me débattre à la volée, puis il me pressait ses grosses bottes sur mon jeans avec insistance. C’est là que ma face a changé de couleur de façon soudaine puis que je me suis mis à bander raide à travers mon jeans.  Je l’ai vu en avant de moi se glisser dans la chaise et me regarder avec un p’tit sourire « cochon » en bas de sa casquette !  Il dit: « On pourrait en profiter en peu tandis qu’on est tout seul ! »  Et c’est là que j’ai amené mes mains sous la table, sur ses grosses TERRAS, et que j’ai commencé à les caresser.  Elles étaient chaudes et ultra massives, les caps étaient légèrement écorchés, et le cuir très lisse et sali.  Il continuait de me masser la queue avec ses bottes toujours en me regardant avec ce petit air délinquant et baveux, comme j’aime.  Il ajouta: »C’est sûr qu’on se mettra pas à poil ici, mais je compte bien te faire venir en dessous d’la table....., chu sûr que c’est c’que tu veux...., j’ai vu ta face tantôt quand j’me suis levé pour mon café ! »  Il avait bien raison.  Pendant qu’il me jouait dessus, sous la table et que je caressais de plus en plus vivement ses grosses TERRAS, il me dit: » Tchèque en dessous d’la table ! »  Je me suis penché davantage, puis son pantalon de travail était dézippé, puis on voyait sa bite bandée à demi sorti.  Il dit: » Tu veux qu’on  crache en même temps ? »  J’ai dis: » D’accord, mais si tu continue comme ça, ça sera pas long que j’va venir,  tu m’excites à fond avec tes TERRAS ! »  Il ajouta: » Faut que tu les sentes avant..., penches-toi que j’te mette mon pied dans’face »  Alors je regardes si le terrain était toujours libre...., pas d’autres employés en vue autour, alors j’ai reculé un peu ma chaise, je me suis penché en admirant les grosses TERRAS sur moi tel un vrai rêve inespérable, puis je me suis collé le visage et la bouche dessus pour les sentir.  Je me suis relevé aussitôt en garochant ma dèche en feu partout sur ses bottes parce que là, j’étais à bout de l’excitation et n’en pouvait vraiment plus.  Il a craché le venin lui aussi, puis a rezippé ses pantalons de travail, et moi mon jeans, comme si rien ne s’était passé.  Il enleva ses pieds de sur moi, les reposa par terre, et me dis d’une voix vraiment cochonne: » Faut qu’on remange ensemble man ! »