KODIAKS-MONDE

                                                                                                                 
Vous ne connaissez évidement pas Sébastien (Sébass), vous le connaîtrez mieux après voir lu cet article.  Sébass est un mec de 19 ans qui ne se lasse pas de courir les occasions de lécher une belle grosse paire de TERRAS aux pieds d'un mec.  Il courre les gares, les terminus, les toilettes publques, les ruelles, les chantiers, les couloirs de métro, bref, il a suffisament d'imagination pour tout concorder pour en arriver à ses fins. La dernière fois qu'on s'est vu, il m'a raconté que la veille, il avait enchaussé une paire de TERRAS de couleur TAN très usées, sa paire préférée, avec ses vieux 501 troués, puis s'était rendu dans un magasin RONA pour flâner et juste regarder les travailleurs venir magasiner leurs matériaux avec leurs grosses bottes de travail.  C'était un endroit qui le faisait complètement halluciner puisque c'était à ses yeux l'endroit ou on pouvait voir le plus de VRAIS MECS bottés comme il aime, en même temps, et à leur naturel de tous les jours. Il a également apprit à se faire remarquer sur les lieux puisqu'il se rendait là quand même très souvent, et ne magasinait pas grand'chose !  On le soupçonnait un peu de voler, bref, on le surveillait. 

Un jour, Sébass avait vraiment des choses à acheter pour son père, alors il s'en va vers son lieu "fétiche", entre, se rend dans le bon département, celui des panneaux de bois traités, et demanda l'aide d'un commis pour choisir ses matériaux.

Quand le commis arriva, Sébass remarque en premier que ce mec du même âge que lui est ausi botté d'une immense paire de TERRAS exactement comme celles-là qui  lui en font baver tous les soir dans ses rêves, sûrement des 12 de couleur TAN, avec beaucoup de vécu , vraiment beaucoup, la seule vue de leur cuir et leur caps d'acier le fit réagir vivement dans son jeans.  Sébass demande: "C'est toi le commis ?"  Le mec répondit "Ouais, c'est moi, tu  cherches quoi au juste ?" Sébass lui donne la liste de ce qu'il a besoin pour son bonhomme, et examine à chaque fois qu'il le peut les  grosses TERRAS du mec.  Le commis lui dit: " Va faloir que je prenne l'échelle, attends-moi un instant !"

Le commis partit et revint quelques instants plus tard, grimpa dans son échelle pour aller chercher les panneaux sur les étagères plus haut.  Sébass avait une vue incroyable sur son cul en bleus de travail bien sûr, mais aussi sur ses fameuses et aphrodisiaques TERRAS qui étaient maintenant à quelques pouces de sa face, à la hauteur même de ses yeux.  Sébass ne savait plus comment se retenir pour ne pas cracher sa dèche violement dans son jeans tellement la tentation était forte d'apposer sa langue juteuse sur la paire de TERRAS, et sentir leur odeur de mec viril, en plus que ce commis était d'une beauté à en perdre le souffle.

Quand les panneaux en question furent descendus sur le plancher, le commis lui remit le papier avec les codes à donner à la caisse et un autre papier en lui disant: " L'autre papier, c'est ta garantie...., garde-lè précieusement et je te conseille de la lire très attentivement en arrivant chez toi , c'est très important !"   Le commis embarqua les panneaux de bois sur le chariot et lui dit: "Salut, pis à la prochaine !".

                                                                                                                       
Je suis parti de là dans tous les états après avoir vu une scène semblable d'aussi près !  Je rentra les panneaux dans le 4X4, puis je repartis vers la maison, débarqua la cargaison dans le garage, ferma la porte, et monta dans ma chambre pour me changer de vêtement, et me soulager de cet émotion encore ardue et tremblante dans mon short. J'ai enlevé mes TERRAS à moi et j'ai commencé à me crosser avec en imaginant que c'étaient celles du commis  de tout à l'heure.  Je  sentais mes terras, me les passaient au visage et sur ma grosse bite enflée comme elle ne l'avait jamais été, puis je suis venu à grands jets sur mes bottes.  Quel soulagement, mais pas encore celui de l'image de ce mec encore fortement ancré dans ma tête.

Je me suis donc ouvert une bière, me suis étendu, et j'ai commencé à jeter un coup d'oeil sur les papiers qu'il m'avait remis.  Je déplia la feuille que j'avais mise dans ma poche arrière, puis constata que ce n'était qu'un feuille blanche avec d'écrit dessus: " JONATHAN, (931) 664-3002".  Eh merde, c'est pas vrai, me suis dis-je, non, ca s'peut pas, c'est pas vrai !   Le commis, Jonathan, lui avait donné son téléphone car pas con non plus, il avait remarqué que Sébass ne manquait pas une occasion de "spotter" ses grosses boots.

Il attendit au soir, après le souper, puis se risqua à téléphoner à ce numéro, nerveusement, très nerveusement. Une voix répondit: "Oin allo !" avec un ton de délinquance, alors Sébass dit: " Salut Jonathan, j'ai lu ma garantie comme tu me l'avais conseillé, puis j'ai trouvé ça vraiment intéressant !"  Jonathan lui répondit: "C'est cool hein ?  Ecoute Sébass, depuis que j't'ai vu à matin, j'ai rien que le goût de te manger tes bottes....., toi ? t'aimerais-tu ça avoir les miennes dans ta face, les lècher, pis venir sur mes caps ? "   Sébass répondit: " Oh crisss oui , tu sais que tu m'as mit dans tous les états toi à matin ? "

Sébass et Jonathan s'organisèrent donc un rendez-vous, dans la même tenue vestimentaire qu'ils portaient les deux à la quincaillerie.  Je savais donc que je pourrais tout faire  avec ses grosses TERRAS et ses pantalons bleus de jobber usés et sale ! 

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